L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . iriel de Saint-Aiiliinlepriîsentanl Mesmer (pii e\plii|uait les veitus de sa enre magnétiiiui. •I. Celle eancaliMe est eommenlée 1 onvraite du D llolliindc!, Die Kari-Italur und Satire in der Medizin (Sluttfiarl, liKl), p. VÎ67-271), (pii la reararde eommeune interpivlalion du mol de Bamlelaire: « 1,homme est un eliien ?>. ET LA CARICATURE EN FRANCE 97 réagir contro les prétendus miracles tlonl élaient Jupes ces sectes d(!convuisionnaires ou de visionnaires. Son scepticisme se défiait desassociatio
L'estampe satirique et la caricature en France au 18e siècle; préfde Maurice Tourneux . iriel de Saint-Aiiliinlepriîsentanl Mesmer (pii e\plii|uait les veitus de sa enre magnétiiiui. •I. Celle eancaliMe est eommenlée 1 onvraite du D llolliindc!, Die Kari-Italur und Satire in der Medizin (Sluttfiarl, liKl), p. VÎ67-271), (pii la reararde eommeune interpivlalion du mol de Bamlelaire: « 1,homme est un eliien ?>. ET LA CARICATURE EN FRANCE 97 réagir contro les prétendus miracles tlonl élaient Jupes ces sectes d(!convuisionnaires ou de visionnaires. Son scepticisme se défiait desassociations dilluminés qui comme les disciples du Suédois Sweden-borg- voulaient fonder une nouvelle ndigion. La franc-mai;onnerie,(jui commença à établir une Idge à laris en , le fit sourire parses formules et ses rites secrets. Le Bas composa une série de septplanches sur les cérémonies des francs-ma(;ons, mais avec cettemention : dessinée parla marquise de ** et gravée par M *** ». Unenote manuscrite nous explique |iour(|ui)i il a \uulu dissimuler sa. LES RFKETS DU M \ G N K T 1 S M E ... A N I M .\ L , CARICATURE ANONYMI(Cabinet des estampes, Paris.) personnalité. Cette suite naurait pas besoin dêtre citée parmi lespièces caricaturales, si Le Bas navait ajouté une huitième estampetrès rare intitulée : Assemblée de noiirraux francs-maroiis pour la 1. Note manuscrite au Cabinet des estampes île la Bibliothèque Nationale; • ne portent pas le nom tle Le Bas, il nest pas ])Ossible île iloutcr quelles nefassent partie de son leuvre; on reconnaît sa manière dans la composition et songoiit pour la charge. Nayant pas voulu mettre son nom à ces estampes, quisemblaient lever en partie le voile qui dérobe les mystères maçonniques du vulgaire, il paraît que Le Bas a trouvé plaisant de rejeter cette sortedindiscrétion sur un peu sujet à cautions à cet égard. » Cf. La Franc-maronne on Hcvelalions mystrres
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