Velazquez . près examen des différen-ts tableauxde Zurbaran qui se trouvent en Jîsjiagne et particulièrement à Séville. Velazquez sidjit-il à cetteépoque linfluence dn peintreRibera, ainsi que le suppo-sent plnsioius do ses biogra-phes? M. Paul Lefort, dontles travaux sur lart et lesartistes espagnols sont sisubstantiels, laffirme dansun article de la Gazette desBeaux-Arts pulilié dans la li-vraison du inovembre y rappelle quenépoque à hujuelle Ribera avaittrente ans, ses talileaux du-rent être connus de Zurbaranet de Velazquez. Cest lhy-pothèse contraire (piémet M. Justi; il croit q


Velazquez . près examen des différen-ts tableauxde Zurbaran qui se trouvent en Jîsjiagne et particulièrement à Séville. Velazquez sidjit-il à cetteépoque linfluence dn peintreRibera, ainsi que le suppo-sent plnsioius do ses biogra-phes? M. Paul Lefort, dontles travaux sur lart et lesartistes espagnols sont sisubstantiels, laffirme dansun article de la Gazette desBeaux-Arts pulilié dans la li-vraison du inovembre y rappelle quenépoque à hujuelle Ribera avaittrente ans, ses talileaux du-rent être connus de Zurbaranet de Velazquez. Cest lhy-pothèse contraire (piémet M. Justi; il croit que les tableaux de ll<:spagnolet ne firent leur appa-rition à Séville quen i63i, cest-à-dire finit ans a|u-ès labandon défi-nitif de sa ville natale par Velazquez. Cependant, dans un autrechapitre de son ouvrage, le même criti((ue prétend (|ue XAdorationdes Bergers de Londres est imitée de Ribera, allégation dont nousnous sommes déjà occupé. Dans les premières œuvres connues de. 1 aiiiH les ouvragos de ee crj|i(|ue, nous devrais signale], nuire |ilusieues ailieles inséi-ésdans diverses revues ll ai-l, /-e/„-,y„e;, ,,S,S» (dans la des ArliMrs rrirùrrs). Ce Iravailparut d dans la r;„-e/)e /;e,„,,-J,vs, ,„„.•.« ,»;., el suivaules. A dli-r .•gaiement de cetauteur : La cs,,ai;n-jle (Pa,-is, Jiildiolliè.iue de l euseigueuient des 13eaux-Ai-ls, iSyi). 4 26 Velazqucz, VAdor((tion des Mages, lu J ieiUe femme faisant frire desœufs, W-Jguador, nous trouvons des caructères do mémo nature queceux que présentent les tableaux de lliijera, notamment un clair-obscur très vigoureux et un relief accusé ; mais, de ce que ces traitssont communs il ne sensuit pas ([ue lun do ces deux maîtres ait eude rinfiuenco sur lautre. Si, en ifiSi, il ny avait |ias encore à Sévillode tableaux de Ribera, comment \olazquez aurait-il pu on voir en1619, date de la composition de Y Adoration des Mages? Ce que lonpeu


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