Bayard à Mézières, opèra comique, en un acte . i p^ i iJ2 m& m ±±u f^ff ^^4 ff^T ^^ ÉËÉ tare et le tam. bour, la gui â é é W- ^ l&A p-?* e^ ^ # f s 1©- ^ 3^ iiJi y—y P 3£ flj i *t f= iéi fi » *#» r m pi P 5=i r? ^ tare letam JE- m. FANCHETTE. Cest fort bien!...Mais je vous prie de ne plusmë parler Voilà plus de douze déclara-tions que je refuse depuis le commencement dusiè Je vous préviens que mon cœur est PAGE. Eh par qui donc ? FANCHETTE. Oh! moi, je le dis tout franchement. Je ne cachepas ça, comme Madame, qui ne veut pas encorese décider; jaime le fils du fermier de
Bayard à Mézières, opèra comique, en un acte . i p^ i iJ2 m& m ±±u f^ff ^^4 ff^T ^^ ÉËÉ tare et le tam. bour, la gui â é é W- ^ l&A p-?* e^ ^ # f s 1©- ^ 3^ iiJi y—y P 3£ flj i *t f= iéi fi » *#» r m pi P 5=i r? ^ tare letam JE- m. FANCHETTE. Cest fort bien!...Mais je vous prie de ne plusmë parler Voilà plus de douze déclara-tions que je refuse depuis le commencement dusiè Je vous préviens que mon cœur est PAGE. Eh par qui donc ? FANCHETTE. Oh! moi, je le dis tout franchement. Je ne cachepas ça, comme Madame, qui ne veut pas encorese décider; jaime le fils du fermier de sa terre,a six lieues pauvre Philippe!...Mais partezbien vite et rejoignez Monsieur Bayard, car je voisles deux inséparables chevaliers ; ils ne quittentjamais la brèche que pour venir soupirer, luntendrement et lautre gaîment, sous les fenêtresde Madame de Sancerre. ils saiment tant qu^ilscherchent toujours les mêmes dangers, la mêmegloire, quils aiment la même maîtresse, ils fontla guerre et lamour bras dessus, bras dessous,pour ainsi dire. LE PAGE. Et leur passion pour la même femme neles brouille pas ? FANCHETTE. Au contraire, ils ne font quun,même dansleur amour, on jurerait quils doivent lé
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