. Sur le Haut-Congo . des eaux. Les oiseaux setaisent. Plus une pirogue, plus un être humain à voir. Le vent mugitavec fureur à travers le feuillage tremblant des grands arbres. Leshautes herbes ondulent comme une mer agitée. Diimnenses nuagesnoirs se rejoignent et sabaissent comme pour étouffer les habitantsde la terre. Puis des torrents de pluie tombent avec un bruit degrêle, inondant les plaines, grossissant les ruisseaux et déracinant lesgéants des forêts. La foudre ébranle les cieux. Généralement, aubout de quelques heures, laverse a cessé, et le soleil reparaît plusargent, évaporant viol


. Sur le Haut-Congo . des eaux. Les oiseaux setaisent. Plus une pirogue, plus un être humain à voir. Le vent mugitavec fureur à travers le feuillage tremblant des grands arbres. Leshautes herbes ondulent comme une mer agitée. Diimnenses nuagesnoirs se rejoignent et sabaissent comme pour étouffer les habitantsde la terre. Puis des torrents de pluie tombent avec un bruit degrêle, inondant les plaines, grossissant les ruisseaux et déracinant lesgéants des forêts. La foudre ébranle les cieux. Généralement, aubout de quelques heures, laverse a cessé, et le soleil reparaît plusargent, évaporant violeimuent lhmmdité du sol et de la végétation. 112 PREMIERE PARTIE UEn avant, emportant Stanley, Braconnier et Callewaert, ne sétaitpas éloigné dun kilomètre, que déjà Gambiélé venait me demanderde lui céder des tissus à un taux dérisoire. Trois heures furentperdues à expliquer à mon rapace ami limpossibilité où jétais devendre dans ces conditions. Nos relations commençaient mal, sim-.


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