Nouveau voyage dans l'Amérique septentrionale, en l'année 1781 : et campagne de l'armée de Mle comte de Rochambeau . 44FarjUe/e de Burgoyne & de Comwal/is, 172,Fautes de ce dernier, 275Avantages du fol & de la légiflaticn civiledes nouveaux États de VAmérique, 179Noce fur les duels, 1 8 rCaufs phyjlques & morales du caractèreactuel Américains, 184Progrès des Sciences & des Arts dutilitéparmi eux, 186 & TABLE DES MATIERES, ix Précis fur leur conduite Jâge & réfléchieà Vépoque des troubles, 189 Ouverture du Congrès général, 195 Extrait de la Pétition au Roi de la Grande-Bretagne y du M
Nouveau voyage dans l'Amérique septentrionale, en l'année 1781 : et campagne de l'armée de Mle comte de Rochambeau . 44FarjUe/e de Burgoyne & de Comwal/is, 172,Fautes de ce dernier, 275Avantages du fol & de la légiflaticn civiledes nouveaux États de VAmérique, 179Noce fur les duels, 1 8 rCaufs phyjlques & morales du caractèreactuel Américains, 184Progrès des Sciences & des Arts dutilitéparmi eux, 186 & TABLE DES MATIERES, ix Précis fur leur conduite Jâge & réfléchieà Vépoque des troubles, 189 Ouverture du Congrès général, 195 Extrait de la Pétition au Roi de la Grande-Bretagne y du Mémoire au peuple, deVAdreJfe aux Colonies, & dune autreau Canada, 198 Raifons qui dévoient les faire paroître peuredoutables à VAngleterre, 20 e Concours des motifs qui ont déterminé larévolution, 106 Rejflources quelle nous procurera, 207 Motifs qui éloigneront long-temps leursliaifons avec la Mere-Patrie, 208 Différence de Vexifence politique de V Amé-rique , davec celle de lEurope, 211 Réflexions fur la tolérance > 212 Fin de la Table des Matières,. NOUVEAU VOYAGE DANSLAMÉRIQUE SEPTENTRIONALE. aaawae^.-. LETTRE PREMIERE. A Bojlon j ce. 14 Juin 17S1. JCiNFiN, Monfieur, jai franchi le vafteOcéan, Se» pendant quatre-vingt-cinqjours, jai fenti ma demeure rouler Setoujours ramenée à fa première pofitionpar fon centre de gravité. Que cfefforts!que de temps il a fallu pour perfectionnerces machines énormes avec lefquelies les A 2 Nouveau Voyagehommes fe jouent ainfi des flots! Nou-veaux Eoles , ils rendent vaine la furiedes vents, ou les forcent à réagir dansdes directions prefque oppofées ; mais,hélas ! leur art favant na pas fu encoreo-arantir le Vovaçeur de la défaillanceoù fon agitation le réduit. Jai éprouvéplus que perfonne cette maladie cruelle,& malgré lufage fréquent des acides, ila fallu minterdire toute efpece doccu-pation. LanguifTant, reflerré dans cetteefpece de prifon, nentendant prefquedu matin a
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