. Gazette des beaux-arts . s de la garde civique de Botterdam), P. Molijn, lesWeenix, les Molenaer, les Moucheron, les Saftleven, les Netscher, les Verschuring,van Toi (un portrait de G. Dov), Emanuel de Witte et Hendrik van Yliet, les peintresdintérieurs de temples ; de Vries, Mathias Withoos, van der Poel, le peintre dincendies ;Juriaan Pool, le mari de Bachel Buijsch; parmi les Flamands, Snyders, Jordaens, Fyt,van Utrecht, Teniers, Gryef, les Zegers, Adriaen Hanneman (un portrait de Jan deWitt), le sectateur de van Dyck, etc.; sans compter une tête de Faust par Ary Schefferet deux tableaux


. Gazette des beaux-arts . s de la garde civique de Botterdam), P. Molijn, lesWeenix, les Molenaer, les Moucheron, les Saftleven, les Netscher, les Verschuring,van Toi (un portrait de G. Dov), Emanuel de Witte et Hendrik van Yliet, les peintresdintérieurs de temples ; de Vries, Mathias Withoos, van der Poel, le peintre dincendies ;Juriaan Pool, le mari de Bachel Buijsch; parmi les Flamands, Snyders, Jordaens, Fyt,van Utrecht, Teniers, Gryef, les Zegers, Adriaen Hanneman (un portrait de Jan deWitt), le sectateur de van Dyck, etc.; sans compter une tête de Faust par Ary Schefferet deux tableaux de son père Jan Baptist Scheffer, né à Hambourg et mort à Amster-dam en 1809. « Jai décrit tout cela, avec une sollicitude passionnée, dans le second volume demes Musées de la Hollande. Mais à présent je nose plus ouvrir ce livre, qui me faitleffet dun cimetière, avec des épitaphes sur ce qui fut — et qui nest plus. » W. BUKGEB. EMILE GAXICHON. IMPRIMERIE DE J. CLAYE, RUE SAINT-BENOIT, 7 HIPPOLYTE FLANDRIN. La mort dHippolyte Flandrin a été uncoup soudain, imprévu de tous, et dontchacun sest senti atteint, sans mesurerdabord létendue de la perte et la pro-fondeur de la blessure. Quand on appritque le grand artiste, qui était allé cher-cher à Rome un peu de repos et de force,y avait rencontré la maladie et la mort,il ny eut pas dindifférents. Ceux qui nelavaient approché que par ses ouvrages,ou qui semblaient jusqualors le moinslouches par leurs beautés, se trouvèrentréunis avec ceux qui lavaient le mieuxconnu et aimé dans les mêmes amers re-grets. On peut dire que dans la foule quise pressait à ses funérailles et ne pouvaitpénétrer dans léglise devenue trop étroite,il ny avait pas détrangers. Le deuil étaitgénéral; les paroles quon entendait sortirde toutes les bouches témoignaient quepot I-os? pour tous un vide sétait fait. Ce vide pa- rait plus grand aujourdhui quil nétait hier; de jour en jour il grandiraà mesure que manqueront


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