Traité d'anatomie humaine . riabledans toute létendue de la tunique conjonctive dulabyrinthe meiibraneux. b. Couche fibreuse propre. âLa couche fibreusepropre, que nous avons assimilée au derme desmuqueuses, est, à létat frais, parfaitement hya-line et dapparence amorphe. Mais, à laide desréactifs, on peut y déceler la présence de noyaux,lesquels se disposent en lits dune admirable ré-gularité. Sa structure rappelle donc celle des la-melles du tissu cornéen (Goyne). Du côté delépithélium, cette couche est limitée par unemembrane basale mince, sans structure, ne pré-sentant à sa
Traité d'anatomie humaine . riabledans toute létendue de la tunique conjonctive dulabyrinthe meiibraneux. b. Couche fibreuse propre. âLa couche fibreusepropre, que nous avons assimilée au derme desmuqueuses, est, à létat frais, parfaitement hya-line et dapparence amorphe. Mais, à laide desréactifs, on peut y déceler la présence de noyaux,lesquels se disposent en lits dune admirable ré-gularité. Sa structure rappelle donc celle des la-melles du tissu cornéen (Goyne). Du côté delépithélium, cette couche est limitée par unemembrane basale mince, sans structure, ne pré-sentant à sa surface ni crêtes, ni papilles, niélevures daucune sorte. On peut, avec Ranvier, lui donner le nom de limitante interne. Au-dessus de la limitante se trouve lépi-thélium. B. Couche épithéliale. â Sur la plus grande partie du vestibule membraneux,lépithélium se compose dun seul plan de cellules, plus larges que hautes, qui,dans les préparations, senlève avec la plus grande facilité. Mais, sur les points où. Fig. 467. Coupe perpendiculaire dune tacheacoustique du lapin (daprès Ran-vier). I, cellules sensorielles. â 2, cellules desoutien. â 3. cellules basales. â 4, groupe decils des cellules sensorielles. â 5, cuticule oulimitante interne. â 6, membrane basale oulimitante externe. â 7, cliorion connectif dusaccule). â S, fibres nerveuses se dépouillantde leui mjéline eu traversant la membranebasale. â 9, plexus basai. OHEIMJ INTEliNE C29 doit sexercer la fonction auditive (tac/ies acouslfques),, cet t|>i|li(Miiint pr(sente undéveloppement tout particulier. .\ous devt)ns y distinguer trois sortes (l(> cellules(Ranvier) : h des cellules dites l>asal(>s ; -2 des c(dlules d(> souti(Mi ; o des cellidessensorielles. a. Cellules basales. â Les cellules basâtes (lig. /i.()7,8) reposent direeliMuent,sur la membrane basale,, au-dessus de laquelle bnirs noyaux lornient une cinudi
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