. Vergniaud, le drame des Girondins . ^, — le celtophile et polygraphe, futur préfet delOise, quelle épousera, après divorce, le 6 messidor an V(24 juin 1797), — nous la montre pourvue de « deniers (72) I 1. ^:2 z ^ o .A O HZ ^ S ï> »--- r-i Si y. 5^ ^^O ^ C rt^ c > VKRGXtAUD PI. i, page 72. AU FAUTEUIL ET a EN PETIT COMITE » comptants, immeubles, rentes ou créances ». Cétait bienelle qui devait offrir au cénacle des Girondins les déjeu-ners dont parle Brissot. Le ménage Ducos allait à léco-nomie, comme nous avons vu, et son chef déclarera for-mellement, pour sa défense devant le Tribuna


. Vergniaud, le drame des Girondins . ^, — le celtophile et polygraphe, futur préfet delOise, quelle épousera, après divorce, le 6 messidor an V(24 juin 1797), — nous la montre pourvue de « deniers (72) I 1. ^:2 z ^ o .A O HZ ^ S ï> »--- r-i Si y. 5^ ^^O ^ C rt^ c > VKRGXtAUD PI. i, page 72. AU FAUTEUIL ET a EN PETIT COMITE » comptants, immeubles, rentes ou créances ». Cétait bienelle qui devait offrir au cénacle des Girondins les déjeu-ners dont parle Brissot. Le ménage Ducos allait à léco-nomie, comme nous avons vu, et son chef déclarera for-mellement, pour sa défense devant le Tribunal révolu-tionnaire : « Pour les rendez-vous, ils ne se faisaient paschez moi, mais chez une citoyenne qui logeait dans lamême maison ». Quant à Vergniaud, il était toujours tropdésargenté pour être lamphitryon du petit comité, témoince passage dune lettre à son beau-frère, en date du31 juillet 1792 : «Je vous prie de me rendre un , le boulanger, à qui je fis un billet, lannée der-nière, me la fait présenter. Je nai pas dargent, car mesanciens cordonniers de Paris mont fait des visites. Je lespaye chaque mois ici ; avec les loyers échus (ceux des mai-sons


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