. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. éf6S LO R. ODE XIV. MA u D I T foit k mortel avareQui de la terre tira lOr ,Et le jour où le fort barbareLui montra ce fatal tréfcr l Avant ce jour, la plus févéreCédoit à de tendres langueurs jIl ne falloit quaimer pour plaire ^Les cœurs étoient le prix des cœurs, ^ Soupirs, tranfports, ardeurs fidellcs ,Cen eft fait , nefpérez plus rien 3LOr eft le feul maître des Belles jE vous a. vol4 votre bien. ^êS L* O R. Depuis un an près de GlycércJe perds le plus ardent amour ;Ce quun an damour na pu faire >LOr vient de le faire en un jour. Natalité
. Oeuvres, dédiées à le duc d'Orléans. éf6S LO R. ODE XIV. MA u D I T foit k mortel avareQui de la terre tira lOr ,Et le jour où le fort barbareLui montra ce fatal tréfcr l Avant ce jour, la plus févéreCédoit à de tendres langueurs jIl ne falloit quaimer pour plaire ^Les cœurs étoient le prix des cœurs, ^ Soupirs, tranfports, ardeurs fidellcs ,Cen eft fait , nefpérez plus rien 3LOr eft le feul maître des Belles jE vous a. vol4 votre bien. ^êS L* O R. Depuis un an près de GlycércJe perds le plus ardent amour ;Ce quun an damour na pu faire >LOr vient de le faire en un jour. Natalité trop importune !Faut-il donc pour me faire aîmet yMe réfoudre à faire iortune ?Jaime autant ne plus menflammer». A^7 iurnrffMirriffiB PERTEDULUTH BANACREON. ODE XV. FA T I G u H des chants héroïques yJavois obtenu dApollon,Pour des airs tendres ou bachiques,le Luth badin dAnacréon. 1t me délaflbis de mes veilles ;Et jofois chanter au hatard,Tantôt le fruit joyeux des treilles ,Tantôt le prix dun doux regard. ;^ Femt déferteur de la fagefTe ,Je tirois des fons fî charmansQuon meût cru dans la double yvre/TfEt des Buveurs & des Amans» ^^ VvJ 4-^8 Peuti du Luth dAn a ck Jok. Mais avec TAmour en colèreA mes regards soffrit Bacchus >Nous voulons un tribut fincére >Aime & bois , ou ne chante plus^ CefTe dans tes faux badinagesDe faire briller nos appas 5Tes chants pour nous font des outrages^Dès (][ue ton cœur ne les fent pas., a« Ils marrachent à ces parolesle Luth quils croyoicnt fuit ^ Amour «u tenvoles lIls mont tous deux abandonn«^ ¥^ Adieu, Luth > quà force de feindiîC >,Mon cœur trouvoit déjà trop ne veut rien fentir > doi
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