Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . sceau, dune admirable conservation, telle quilest rare den trouver, représente le duc Jean dansle même équipement que son père, sauf les ge-nouillères, dont les ailettes sont plus grandes, et GaléaS, fils de FlanÇOlSlarmure de tète. Cest toujours la salade, mais la bavière, développée en hauteur, monte jusquaux Sforze. Il Se rendityeux et rend la visière presque inutile. Au-dessus de la tète du cheval on remarque la ceinture dEs- (1 abord à Lyon et, pOUlpérance. , 1 , , , plus de surete, occup
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . sceau, dune admirable conservation, telle quilest rare den trouver, représente le duc Jean dansle même équipement que son père, sauf les ge-nouillères, dont les ailettes sont plus grandes, et GaléaS, fils de FlanÇOlSlarmure de tète. Cest toujours la salade, mais la bavière, développée en hauteur, monte jusquaux Sforze. Il Se rendityeux et rend la visière presque inutile. Au-dessus de la tète du cheval on remarque la ceinture dEs- (1 abord à Lyon et, pOUlpérance. , 1 , , , plus de surete, occupale château de Pierre -Seize et y établit une forte garnison (à Lione, dove per sicurezzn volse in sua poleslale il castello diPetracisa e quivi gli misse Vereellino con validopresidio); puis il rentra en Dauphiné, le 3 août. Ses troupes,alors, franchissant le Rhône, envahirent le comté de Forez, privéde ses défenseurs, et où on ne sattendait nullement à uneattaque. Louis XI ne fit rien pour empêcher cette violation de DECHEANCE DE LA FEODALITE 649. la trêve jurée et, pendant près de cinq mois, les bandes italiennespurent ravager et piller les bourgs et les villages, mais non sanséprouver quelques échecs, comme à Saint-Genès-de-Malifaux, oùune de leurs troupes fut surprise dans une embuscade, et tailléeen pièces par les habitants. Indigné de tant de mauvaise foi, le duc de Bourbon reprit lesarmes et se rendit au camp des princes, qui bloquaient le roidans Paris; il y fut rejoint par seshommes darmes, qui avaient aban-donné Tannée royale. Linterventionde Jean II décida du sort de la lutte ;lhabile capitaine ayant, par unemanœuvre hardie, enlevé la Nor-mandie, Louis XI se hâta (25 octobrei465) de conclure la paix avec lesprinces révoltés qui, du reste, trai-tèrent pour eux-mêmes, sans nulsouci du bien public, qui avait servide prétexte à leur révolte. Seul, leduc de Bourbon resta en dehors deces conventions,
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