Revue de l'art chrétien . ratur, Eya, rotas volvite.« Rota volvituraccensa,Sed lux altéra immensaCelitus adest ostensa ;Nuncium suscipite. Eya, rotas volvite.« Ecce novum habens singulare,Quod quid velit designareVos, ministri, dicite. Eya, rotas volvite.« Lumen lucens ab eternoDie ful.\it élus hoc de supeino,Nuncium attendue, Eya, rotas volvite. Une seule idée domine dans ce chant, cellede la lumière, qui brille au ciel par la naissancedu Pils de Dieu, annoncée par un ange, « , lumen lucens ab eterno ?>. Le symbolismeexige sur terre une lumière nouvell


Revue de l'art chrétien . ratur, Eya, rotas volvite.« Rota volvituraccensa,Sed lux altéra immensaCelitus adest ostensa ;Nuncium suscipite. Eya, rotas volvite.« Ecce novum habens singulare,Quod quid velit designareVos, ministri, dicite. Eya, rotas volvite.« Lumen lucens ab eternoDie ful.\it élus hoc de supeino,Nuncium attendue, Eya, rotas volvite. Une seule idée domine dans ce chant, cellede la lumière, qui brille au ciel par la naissancedu Pils de Dieu, annoncée par un ange, « , lumen lucens ab eterno ?>. Le symbolismeexige sur terre une lumière nouvelle, « novumlumen proferatur », pour rappeler celle qui réjouitles bergers. Quon allume donc une roue, une cou-ronne de lumière. Rota volvitur accensa, novumluminare lumen habens singulare, dans le sanc-tuaire,et le chœur de répéter: « Agite/, les roues »,par allusion aux plus petites qui illuminaient lanef. Léglise est alors remplie de clarté. X. Baruier ue Montault. Ueuuc De rHrt chrétien. PL.


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