Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . unautés étant partout les mêmes. La charité frater-nelle, source de tant de consolations et de forces, se conserveraitentière, malgré les séparations imposées par les distances. lu& cor iiniiinet Yanima iina, la fusion des cœurs et des âmes, loin de perdi*e à cettedilatation providentielle, y gagnerait, au contraire. En conséquence, un décret obligea les supérieurs locaux à en-voyer, chaque année, à lAdministration générale, le compte rendu exactdes œuvres accomplies par les Pères vivant sous leur autorité. Cesrapports
Les Oblats de Marie Immaculée durant le premier siècle de leur existence . unautés étant partout les mêmes. La charité frater-nelle, source de tant de consolations et de forces, se conserveraitentière, malgré les séparations imposées par les distances. lu& cor iiniiinet Yanima iina, la fusion des cœurs et des âmes, loin de perdi*e à cettedilatation providentielle, y gagnerait, au contraire. En conséquence, un décret obligea les supérieurs locaux à en-voyer, chaque année, à lAdministration générale, le compte rendu exactdes œuvres accomplies par les Pères vivant sous leur autorité. Cesrapports fourniraient les matériaux pour des Annales mensuelles, outrimestrielles, qui mettraient tous les fils de la Congrégation en 364 L EXTEXSIOX EX FRAXCE communication ininterrompue, et presque en j)iésence continuelle, lesuns des autres. Le gouvernement de Louis-Plulippe, mieux inspiré que par lepassé, avait renoncé à son ressentiment si injuste envers Mgr réconciliation était sans arrière-pensée, et Mgr Fortuné de Mazenod,. Mgr de Mazenod, évoque de ^larseille. âgé de quatre-vingt-huit ans, ayant ollert sa démission, son neveuvenait dêtre nommé pour lui succéder sur le siège si important deMarseille. A la dernière session, il entretint lassemblée de cette aflaire qui,quoique lui étant personnelle, était aussi de la plus haute gravité pourles intérêts majeurs de la Congrégation : — Laction de la Providence paraissait trop visilile pour quil me LA CONGRÉGATION FORTIFIE SES POSITIONS, ETC. 365 fût possil)lc de me dé Je pouvais me croire autorisé suffisam-ment par lagrément que le Souverain Pontife, instruit de mes devoirsvis-à-vis de notre Institut, a donné à ma nomination faite par le roi. Jesais aussi, par lexpérience de quatorze années, que ladministration dece diocèse ne serait pas caj^able de me détourner de celle delà Congré-gation. Néanmoins, avant mon élection définitive au prochain co
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