. Revue de l'art chrétien . ue deTusculum ; les cinq archevêques, ceux de Bourges, deSens, de Rouen, de Tours, de Toulouse ; les onze évêques,ceux de Laon, de Soissons, dAmiens, de Senlis, deLangres, de Chartres, dOrléans, de .Meaux, de Bayeux,dEvreux, dApros Macédoine). Ce dernier évoque, quisappelait Hugues et que les uns ont supposé être évëquedApt, les autres dAvranches (Aptensis, Aprencensispour Abrinsensis), vient dêtre définitivement identifiépai M. Léopold Delisle, dans le Journal des Savants,1898, pp. 309-317, et dans le Bulletin de la Société delHistoire de Paris, [898, pp. 159-162.


. Revue de l'art chrétien . ue deTusculum ; les cinq archevêques, ceux de Bourges, deSens, de Rouen, de Tours, de Toulouse ; les onze évêques,ceux de Laon, de Soissons, dAmiens, de Senlis, deLangres, de Chartres, dOrléans, de .Meaux, de Bayeux,dEvreux, dApros Macédoine). Ce dernier évoque, quisappelait Hugues et que les uns ont supposé être évëquedApt, les autres dAvranches (Aptensis, Aprencensispour Abrinsensis), vient dêtre définitivement identifiépai M. Léopold Delisle, dans le Journal des Savants,1898, pp. 309-317, et dans le Bulletin de la Société delHistoire de Paris, [898, pp. 159-162. (Charte dindulgences accordées aux visiteurs des re-liques de la Sainte-Chapelle, avril 1248. — Riant, t. II,P- 1350 Reliques De Con0tanttuople. 97 insignes, mais leur origine, à laquelle onpeut remonter, est bien étrangère à la dédi-cace de la Sainte-Chapelle. Dès maintenant,on peut dire que les épines de Bourgesétaient celles du duc de Berry ; quà Sens,si une provient peut-être de saint Louis,. Reliquaire de la sainte Couronne,daprès les Heures dAnne de Bretagne.(Dessin de M. G. Rohault dk Fleuey.) elle avait été donnée très probablement àGautier Cornut, le 11 août i 239: à cette date,dailleurs, Sens possédait déjà ab antiquodes épines (); à Toulouse, dès 1226, St-Sernin pouvait donner à Grandmont unreliquaire avec une épine: les Chevaliers de 1. Albénc, dans Riant, t. 11, p. 242. Malte de cette ville en possédaient uneégalement : la tradition conserve enfin lesouvenir dune épine, donnée en 1251 àSt-Sernin par Alphonse, frère de saintLouis ; à Laon, un inventaire de 1502 estla seule pièce qui signale une épine; lépinede Soissons, avait été rapportée en 1 204 deConstantinople par Nivelon; celle de Senlis


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