Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Et sa dame? Aïe! « Sa dame »... Madame Bréauet son fils échangèrent un regard in-quiet. Jeanne le surprit au vol. Et desa voix preste : — Est-ce que jai dit quelque chose demal? — Oh! de protesta Léon. — En réalité... commença sa mè Jeanne: — Si, si, si. Cest convenu, nest-cepas, Madame? Je vous lai demandé moi-même. Chaque fois que jaurai des motsquon ne dit pas, il faut mavertir. En-tre vous deux, je nai pas dorgueil. M l/,7 \.l // DEM 1/Y 1-1 li bien i ii Madame I on du plutôt B !• mi I i( i imme i • l drôl l- anrn i >n dil Madame et on n


Mariage de demain : [Dajan-Phinn] . Et sa dame? Aïe! « Sa dame »... Madame Bréauet son fils échangèrent un regard in-quiet. Jeanne le surprit au vol. Et desa voix preste : — Est-ce que jai dit quelque chose demal? — Oh! de protesta Léon. — En réalité... commença sa mè Jeanne: — Si, si, si. Cest convenu, nest-cepas, Madame? Je vous lai demandé moi-même. Chaque fois que jaurai des motsquon ne dit pas, il faut mavertir. En-tre vous deux, je nai pas dorgueil. M l/,7 \.l // DEM 1/Y 1-1 li bien i ii Madame I on du plutôt B !• mi I i( i imme i • l drôl l- anrn i >n dil Madame et on ne dit,i » irquoi Madame B réa u 11 li pel ite, i \ oua me demandezle pourquoi d< I plus <|n<- nou nep i pourquoi, obsen.» I ,éon. 1 .<• faitque sa d im< i l plus joli, plus i bleresque. — Oui, reprit Madame Breau, sadres-sant à son fils, mais il ne sagit pas deraisonner. Les trois quarts des usagesne résistenl pas à lexamen. Nous appre-. LBON PRIT UNE CHAISE ET saSSIT PRÈS DE JEANNE i mo-ment , i fe• pronom e c I k >u »,m ne me demandera pa pourquoi . \,< < I !(»?.«• you — je préfèri « aime. » I I 1 i; I <|UI nous ,i| paiai ent < omme les sti|de lignorant e « i sur lesquelles on i1 < un indi\ idu. i rapp< 1er une« ho bien Se rappeler dune < ho • un ( i ime I n<- lettre trop, et lon « du. Heureusement, Jeanne nabu de mots tarés. Elle ne disait ni le i i intième », ni « son manger ». On sentaitque la tante Félw îe, personne distinguavait passé par là. Le champ était sar-clé déjà. Il ny restaitplus beaucoup de mau-vaises herbev Jeanne renoua ensouriant : — Donc, sa fem-me //?... — Berthe la Sdirait Léon. Cest lapersonne sérieuse dela famille. Elle y repré-sente la rè^le, lordre,la pondé Et Léon : — Ce nest pas uneCourtemer. Cest uneBréau. — Elle élève sesdeux enfants, Pierreet Pauline, selon lestraditions


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