. Poësies . yeux de nos deux Contractons :Cétoit un Vin . . Auvile, lHermitagcNen donneroient de tel en cent mille clair flacon de la liqueur bachiqueDe fon repaire à linftant fut tiré >Mais, par un coup de la difeorde inique,Dans le goulot le liège trop ferré ,Déconcerta le couple pacifique. DIVERSES. 0 Ils ne fça voient comment len arracher â Le cas etoit dune extrême importance , Comment fans vin terminer lalliance? Ce nétoit pas feulement lébaucher. Enfin IAmour , qui jamais ne sépuifc En nouveaux traits dimagination, Creufant fa tête, & penfant à reprife A quelque tour de fon in
. Poësies . yeux de nos deux Contractons :Cétoit un Vin . . Auvile, lHermitagcNen donneroient de tel en cent mille clair flacon de la liqueur bachiqueDe fon repaire à linftant fut tiré >Mais, par un coup de la difeorde inique,Dans le goulot le liège trop ferré ,Déconcerta le couple pacifique. DIVERSES. 0 Ils ne fça voient comment len arracher â Le cas etoit dune extrême importance , Comment fans vin terminer lalliance? Ce nétoit pas feulement lébaucher. Enfin IAmour , qui jamais ne sépuifc En nouveaux traits dimagination, Creufant fa tête, & penfant à reprife A quelque tour de fon invention, De celui-ci tout à propos savife. Cet Enfant tire un trait de fon Carquois, Au feu divin de fa torche allumée, Il lamollit y la matière enflammée Quil prefle , tourne & retourne cent fois , Sétend, fe file en fpirale formée. LAmour, jamais à demi ninventa , Et toujours maître en fon apprentiffagc, A la fpirale enfin il ajouta Lanneau qui mit le comble à fon Eii PO E S I E S RÉPONSE AUNEÉPITRE ni av oit été adrejfée à lAuteur, à loccajionde fon Difcours fur le Rouge. VjrAlant Auteur dune Epître anonime, Sur qui le Dieu du Mont à double cime , De fa main même a paffé le vernis -, Vous qui, dans lArt de manier la rime, Trop exaltez le los que je macquis} Fille, ou Garçon , lequel que puifliez être , Ou de lHymen portant le doux chaînon, Rien ne rifquez à vous faire connoitre : Modeftement nous taifant votre nom, Vous y perdez 6c louange êc renom. Si mes Ecrits, par vous pris pour modelcs, Vous ont du Pinde enfeigné les detours, Ceux-là , jentends, où les doctes Pucelles, A folâtrer quelquefois avec elles, Parmi leur troupe-admettent les Amours , Dans ces fentiers que le fin badinage , Tenant la porte, & gardant le paffage, Les clefs en main , ouvre à fes feuls Elus, Trop bien marchez, trop bien à mon dommage, En my fuiyant les avez retenus j D~I V E R S E S. f| Tant eft gentil le tour de votre Epître,Langage pur ,
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