. Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710. , Tome XXXII. G. 50 Histoire de lAcadémie Royalecomte de Caylus, nous femmes encore très-greffiers à cetégard. Si lon examine la quantité de bois & de charbon quonemploie en Europe pour les moindres opérations de iaChymie,on ne verra pas (ans étonnement les Egyptiens produire, avecdes agens auffi foibles que ceux quon vient de dire, les effetsles plus confidérables de la fo
. Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710. , Tome XXXII. G. 50 Histoire de lAcadémie Royalecomte de Caylus, nous femmes encore très-greffiers à cetégard. Si lon examine la quantité de bois & de charbon quonemploie en Europe pour les moindres opérations de iaChymie,on ne verra pas (ans étonnement les Egyptiens produire, avecdes agens auffi foibles que ceux quon vient de dire, les effetsles plus confidérables de la fonte des métaux, & exécuter laporcelaine dans un degré de perfection tel que le prélêntentces figures de terre cuite & ces amulettes : ce fait doit eau ferdautant plus détonnement, que lémail ou la couverte decette matière exige la plus grande égalité, la plus grandecontinuité, la plus grande vivacité du feu. Ce produit de laChymie égyptienne, prouve que ce peuple ingénieux avoitune profonde connoiffance de cet ait; les Etnifques, les Grecs& les Romains, avec des moyens beaucoup plus abondans &^plus faciles, nont jamais pu atteindre en ce genre le mêmedegré de des Inscriptions et Belles-Lettres. 5 r MÉMOIRE SUR LES PARASITES DES DIEUX DANS LANTIQUITÉ, Avec quelques obfervations fur les Parafites de théâtreen particulier. ON na pas toujours attaché la même idée au même mot;le nom de Para/ne, après avoir défigné un miniftèrereligieux, na plus fervi quà exprimer la condition la plusbaffe & la plus méprifable: une acception fi différente dumême terme a fait rechercher à M. le Beau le cadet, cequétaient dans lorigine ceux à qui les Grecs donnoient lenom de Parafites, & comment enfuite ce nom a dégénéré.Il divife fon Mémoire en trois articles : dans le premier, il Lû danstraite des Parafites minimes des Dieux chez les Athéniens ; puf,]iqucdefadans le fécond, des Parafites dApollon chez, les Romains; Saint-Martin& da
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