. Histoire de l'art du Japon; . ouvelles tant à la peinture quà larchitecture. Lesempereurs Uéi-zéi et Itchi-jyau se plaisaient à peindre. Shirakawa, Morikana I exécutèrent despeintures bouddhiques. La lille aînée de Tahira-no-lviyo-mori est citée comme artiste de peignit des scènes de licé monogatari sur les cloisons du Shi-shinn-dèn. Ses six sœurscadettes étaient aussi très artistes. Elles firent, dit-on, de nombreuses peintures inspirées par despoésies- On cite plusieurs écoles féminines de peinture k cette époque, telles que Eshi kibou,Tchyou nagou no Tsouboné, etc. Dans la pei


. Histoire de l'art du Japon; . ouvelles tant à la peinture quà larchitecture. Lesempereurs Uéi-zéi et Itchi-jyau se plaisaient à peindre. Shirakawa, Morikana I exécutèrent despeintures bouddhiques. La lille aînée de Tahira-no-lviyo-mori est citée comme artiste de peignit des scènes de licé monogatari sur les cloisons du Shi-shinn-dèn. Ses six sœurscadettes étaient aussi très artistes. Elles firent, dit-on, de nombreuses peintures inspirées par despoésies- On cite plusieurs écoles féminines de peinture k cette époque, telles que Eshi kibou,Tchyou nagou no Tsouboné, etc. Dans la peinture bouddhique, on a conservé les noms de plusieurs maîtres célèbres, endehors du Sodzou Keishinn. On connaît le Sodzou Eri, prêtre du ïci-ji qui, vers lépoqueYenghi (901-933), peignit dos images bouddhiques de la secte Shingon. Le bonze Euyènsurnommé dans le monde Eajyari (le docteur-peintre), peignit au llaujyauji, pendant les années ,a;viida (Amidàva, sanscrit). ^^Hi»i/X^ siècle (Haukkai. accrochés en rang au mur du Ivondau. Le Daï-nîtchi, son chef-dœuvre, est honoré comme ladivinité principale, à qui lon offre des sacrifices. On lui doit encore beaucoup dautres œ maître en images bouddhiques, Kyôzèn, sur le désir de lempereur Goreizei, peignit, auHaujyauji, nu imnges religieuses. En récompense, il fut nommé sokô. Ln autre maître, Ryo-sliyou, est renommé pour ses peintures du Foudau. Le bonze Knkou-Imn, toiulaleur de labranche Minighi de la secte Singhon, a fait un grand nombre dimages bouddhiques au pinceaude bois (ce pinceau sert dordinaire à écrire les caractères|. Le bonze Tchinkaï, fils du chefde lEdokoro, Foujiwara-no-Moio-mit?ou, lui surnomme le Séki-Tokou fsaint) de cette époque. 11 reçutla succession rie son père et fit, dil-on, beaucoup de peintures bouddhiques. A lépoque de Taliira surgissent beaucoup de maîtres bouddhiques. On cite ceux dont lesnoms sont restés : Unï-shyau, Hyanninn, Tchyo


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