. Abrégé de l'histoire des plantes usuelles; dans lequel on donne leurs noms différens, tant françois que latins; la maniere de s'en servir; la dose, & les principales compositions de pharmacie, dans lesquelles on les emploie . es matièresvermineufes, &c de rétablir le levain deleftomaC lorfquil efl; affoibli. Voyez ci-^devant la ClalTe des Plantes Céphaliqiies,Les Plantes Céphaliques étrangèresnous Fournilfent des Stomachiques éprou-vés , la Caneile, le Girofle , Se la Mufca-de font dun ufage familier dans la cuifine {?our aiïaifonner nos àlimens & en aidera digeftion. Voyez ci-devaiH la même
. Abrégé de l'histoire des plantes usuelles; dans lequel on donne leurs noms différens, tant françois que latins; la maniere de s'en servir; la dose, & les principales compositions de pharmacie, dans lesquelles on les emploie . es matièresvermineufes, &c de rétablir le levain deleftomaC lorfquil efl; affoibli. Voyez ci-^devant la ClalTe des Plantes Céphaliqiies,Les Plantes Céphaliques étrangèresnous Fournilfent des Stomachiques éprou-vés , la Caneile, le Girofle , Se la Mufca-de font dun ufage familier dans la cuifine {?our aiïaifonner nos àlimens & en aidera digeftion. Voyez ci-devaiH la mêmeClarté.La Glaffe fuivante qui traite des Plantes Fv 150 Plantes Fébrifuges , dont la plupart font amere?^nous fournit dexcellens Gentiane, la petite Centaui ée, le Cha-miedrys,le Quinquina font très-propres àcorriger les aigreurs , & à abforber lesacides vicieux. Voyez la Claife fuivante. La fougère. Sa en décodtion oufon eau diftillée, paîTc pour un bon re-mède pour taire mourir les vers. Voyezci-après la ClafTe des Plantes Hépati-ques. La Rhubarbe eft un excellent Stoma-chique, &c un très bon Vermifuge. Vovjzci-devant la clalïe des Plantes Pur^ Fébrifuges. ijjr II- yA. /a\ Xif^^. y^^. yA>^ /N^. •/vv. /fV T^s /xv. .^ia;^ iis QUATRIEME CLASSE. DES PLANTESFEBRIFUGES. LE nom de Fébrifuges que lufage Selexpérience ont fait donner à quel-qaes remèdes, pourroi faire croirequil y a des fpécifiqaes en mé on nen peut reconnoître au-cun qui mérite ce nom j Ci lon exceptenéanmoins le Mercure , encore ed: - ilcertain que là méthode demployer ceremède , eft fort au-deOfus du remèdemême,fous quelque forme quil foit don-né. Qui eft-ce qui ignore que la multitu-de de Gueriffeurs qui fe mêlent de trai-ter la maladie vénérienne, ne ferrbienfouvent quà la multiplier. Se à léterni-fer bien plus par la mauvaife manœuvredu traitement, & des prétendus fecrets,que par la faute dun remède très-
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