. Le General Dourakine; . Le général sortit après leur avoir caressé les joues. (Page 60. PREMIER DÉMÊLÉ. Les petits Papofski regardaient avec surpriseJacques et Paul ; ni lun ni lautre ne leur baisaientles mains, ne leur faisaient de saluts jusquà terre;ils se tenaient droits et dégagés, les regardant avecun sourire. MITINEKA. Mon oncle, qui sont donc ces deux garçons quine disent rien ? LE GÉNÉRAL. Ce sont les petits Français, deux excellentsenfants; le grand sappelle Jacques, et lautrePaul. SONUSHKA. Pourquoi ne nous baisent-ils pas les mains ? 60 LE GÉNÉRAL DOURAKINE. LE GÉNÉRAL. Parce que
. Le General Dourakine; . Le général sortit après leur avoir caressé les joues. (Page 60. PREMIER DÉMÊLÉ. Les petits Papofski regardaient avec surpriseJacques et Paul ; ni lun ni lautre ne leur baisaientles mains, ne leur faisaient de saluts jusquà terre;ils se tenaient droits et dégagés, les regardant avecun sourire. MITINEKA. Mon oncle, qui sont donc ces deux garçons quine disent rien ? LE GÉNÉRAL. Ce sont les petits Français, deux excellentsenfants; le grand sappelle Jacques, et lautrePaul. SONUSHKA. Pourquoi ne nous baisent-ils pas les mains ? 60 LE GÉNÉRAL DOURAKINE. LE GÉNÉRAL. Parce que vous êtes des petits sots, et quils nebaisent que la main de leurs parents. JACQUES. Et la vôtre, général I — Ils parlent français ! ils savent le français !sécrièrent Sonushka, Mitineka et deux ou troisautres. LE GÉNÉRAL. Je crois bien, et mieux que vous et moi. PAVLOUSKA. Est-ce que je peux jouer avec eux, mon oncle? LE GÉNÉRAL. Tant que tu voudras; mais je ne veux pasquon les tourmente.
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