. Schreiben des Ritters von Hamilton an die königliche Societät der Wissenschaften in London : In welchem seine selbst angestellten physischen Beobachtungen über das Erdbeben in Calabrien und Sicilien mitgetheilet le du Vcfuve; le Vcfuve(enible s cteindre, |>eut - ctre que des circonftances pouiroiententierement laneantir, fi fa bouche , aujourdhui reflence,prenoit une bien plus graiide etendue, & que les matierespulfent en föitir avec aifänce 6c faciiitc , ou sil sctabliffoit affez debouehes poLir donner une libre ilfue aux laves, &c. fi les ouver-tures changeoient de place; enfin
. Schreiben des Ritters von Hamilton an die königliche Societät der Wissenschaften in London : In welchem seine selbst angestellten physischen Beobachtungen über das Erdbeben in Calabrien und Sicilien mitgetheilet le du Vcfuve; le Vcfuve(enible s cteindre, |>eut - ctre que des circonftances pouiroiententierement laneantir, fi fa bouche , aujourdhui reflence,prenoit une bien plus graiide etendue, & que les matierespulfent en föitir avec aifänce 6c faciiitc , ou sil sctabliffoit affez debouehes poLir donner une libre ilfue aux laves, &c. fi les ouver-tures changeoient de place; enfin fi les fLibftances qui lui ferventdaliment venoient ä le confumer & ä manquer dans cette partiedu globe; le Vcfuve ne feroit plus, ou il deviendroit une nou-velle Sollatare, dont peu de fiecles apres, lorigine feroit auili peuconnue que {eil aujourdhui celle de cet ancien volcan. On peut confulter les Auleuis qui ont rapporte le plus Jefaits Sc dobfervations für les volcans, comparer les cruptions duVcfuve & de l^thna; je me fuis propofe ici de faire connottreies pieries Sc les maiicjes qui cnvironnent la montasjne duVtfuve, läns me permeltre, comme je Tai dit, aucune N ij )
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