. Histoire. net degueules, Se fur le tout, dor à trois cornes decerf, rangées en trois fafees lune fur lautre ,chevillées chacune de cinq pièces de sable, ce quieft de Virtemberg. ( Pi. Xi, fig. 585. ) FUSIL, f. m. meuble de lécu repréfentant un Mil. Valete, de gueules à un fuftl dargent, garnidor pofé en fafee. ( Pi. X, fig. 515. ) FUTÉ, ou FUSTÉ, ée, adj. fe dit dun arbredont les feuilles font dun émail, & le fût ou letronc dun autre émail. De Maréchal, en Dauphiné, dor à trois pinsde finople, fûtes de sable, pofés chacun fur unemote de terre du deuxième émail, mouvantes dubas de lécu. Futée
. Histoire. net degueules, Se fur le tout, dor à trois cornes decerf, rangées en trois fafees lune fur lautre ,chevillées chacune de cinq pièces de sable, ce quieft de Virtemberg. ( Pi. Xi, fig. 585. ) FUSIL, f. m. meuble de lécu repréfentant un Mil. Valete, de gueules à un fuftl dargent, garnidor pofé en fafee. ( Pi. X, fig. 515. ) FUTÉ, ou FUSTÉ, ée, adj. fe dit dun arbredont les feuilles font dun émail, & le fût ou letronc dun autre émail. De Maréchal, en Dauphiné, dor à trois pinsde finople, fûtes de sable, pofés chacun fur unemote de terre du deuxième émail, mouvantes dubas de lécu. Futée fe dit auffi dune flèche, dune lance,dune pique, dont le manche ou le fût eft dunémail autre que celui du dard, des plumes &du fer. Fouret de Campigny , près Falaife en Nor-mandie, dazur à deux flèches dargent, futéesdor, paffées en fautoir, les pointes en haut, auchef du fécond émail. Le mot fût, doù fe forme ladjeclif fûti, vientévidemment de fufiis, un bâ Hifloire. Tome I. 74 G A L G rALOIS , f. m. pi. ( Hsfl. de la chevalerie )nom que les hiltoriens donnent aux membresdune efpece de confrérie qui parut en Poitoudans le quinzième fiecle, & quon pouvoit appe-ler la confréries des pénitens damour . Lesfemmes , aufll - bien que les hommes, entrèrentdans cette confrérie , & fe difputerent à quifoutiendroit le plus dignement lhoneur de cefanatifme dimagination , dont lobjet étoit deprouver lexcès de fon amour par une opiniâtretéinvincible à braver les rigueurs des faifons .Voici ce quajoute M. de Saint Palaye, dans foncurieux traité de la chevalerie. Les chevaliers, les écuyers,les dames & demoi-felles qui embrafferent cette réforme, dévoient,fuivant leur inftitut , pendant les plus ardenteschaleurs de lété, fe couvrir chaudement de bonsmanteaux & chaperons doublés,& avoir de grandsfeux auxquels ils fe chaufoient, comme sils eneuflent eu grand befoin : enfin ils faifoient en ététout ce quon fait en h
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