Traité d'anatomie humaine . P= t Fig. 273. Schéma dun mouvementréflexe daprès les idéesanciennes. a, épithélium sensible,/j, fibre musculaire. — 1, fibresensitive. — 2, fibre motrice.— 3, cellule nerveuse, centredu réflexe. encore inconnue, survenant elle-même dans des conditions diverses, telle quelanémie, lhypérémie, laccumulation de GO- dans les capillaires ambiants, , le plus souvent, sa mise enjeu est la consequence dune excitation, que luiapportent, soit ses propres prolongements protoplasmiques, soit les fibrilles termi-nales du prolongement cylindraxile dun neurone
Traité d'anatomie humaine . P= t Fig. 273. Schéma dun mouvementréflexe daprès les idéesanciennes. a, épithélium sensible,/j, fibre musculaire. — 1, fibresensitive. — 2, fibre motrice.— 3, cellule nerveuse, centredu réflexe. encore inconnue, survenant elle-même dans des conditions diverses, telle quelanémie, lhypérémie, laccumulation de GO- dans les capillaires ambiants, , le plus souvent, sa mise enjeu est la consequence dune excitation, que luiapportent, soit ses propres prolongements protoplasmiques, soit les fibrilles termi-nales du prolongement cylindraxile dun neurone voisin. Le corps cellulaire,une fois ébranlé, transmet toujours lébranlement, quelle que soit sa nature, dans son prolongementcylindraxile,jamais dans ses dendrites. â^ LesprolongetJients proto-plasmiques sont des conduc-teurs cellulipètes. Lébranle-ment nerveux leur est com-muniqué de deux façons : a) oubien par une excitation externecomme cela se voit pour lesneurones sensitifs et sensorielspériphériques; b) ou bien parles fibrilles terminales du pro-longement cylindraxile (ou deses collatérales) dun neu-rone voisin, comme cela a lieupour les neurones centraux ;dans ce dernier cas, lébranle-ment se transmet su
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