. The doctrine of morality : or, A view of human life, according to the stoick philosophy : exemplify'd in one hundred and three copper-plates, done by the celebrated Monsieur Daret, engraver to the Late French King, with an explanation of each plate . Nous tombons indiffé la main Janglante des defçendons aux triftes bords Où commande un nocher Avare ; Et payons le tribuit barbare,Que Pluton exige des morts. Ggg For whether born of Swains, or Kingly Race,Yet, when our Deaths decreed, tis all a Cafe ;And we, alas ! fhall, undiftinguifhd, fallBefore that bloody Hand, tha


. The doctrine of morality : or, A view of human life, according to the stoick philosophy : exemplify'd in one hundred and three copper-plates, done by the celebrated Monsieur Daret, engraver to the Late French King, with an explanation of each plate . Nous tombons indiffé la main Janglante des defçendons aux triftes bords Où commande un nocher Avare ; Et payons le tribuit barbare,Que Pluton exige des morts. Ggg For whether born of Swains, or Kingly Race,Yet, when our Deaths decreed, tis all a Cafe ;And we, alas ! fhall, undiftinguifhd, fallBefore that bloody Hand, that conquers all :Down to the difmal River we mufi come,Where furly Charon does our Souls command,Taking the Tribute from each trembling HandsWhich Pluto claims from all that fill the Tomb, zo6 The Bottrine of MORALITY; of, The Explanation of the Forty-firft Pi& Mort eft inexorable. Death is E commence à me laffermoy-même de cegrand nombre de tableaux, qui ne re-prefentent quune même chofe. NotrePeintre toutefois né les a pas faits fansraifon ; & je meiperfuade, que fca-chant lHorreur que nous avons dufouvenir de la Mort, il a crû quil nepouvait trop de fois, nous renouveler cette importante vé-rité, quil ny a perfonne exempt de la NeceJJité demourir. Voyez, vous cet Homme étendit mort fur fon lit,qui ne demande que le cercueil, fi la Pieté, lEloquence& la Nobkjfe pouvaient délivrer quelquun de lu Ty-rannie de la Mort, il feroit encore dans cette grandeureclattante, avec laquelle il voulait ébloiiyer les yeux detout le Monde. Mais f oyons Eloquents ou Barbares ;foyons Empereurs où Bergers ; foyons Jeunes ou Viex, ilfaut que nous rendions à la Nature ce quelle nous aprefié. Il faut retournir doù nous femmes venus. Ilfaut abandonner les biens, dont nous avons efté dunefaçon ou dautre, mavais depofitaïres. Il faut fe dé-pouiller de la pourpre, def


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