. Annales de micrographie. . — 1G4 — de gélatine fondue à 35° et renfermée dans un flacon à fond plat, de la forme représentée par la Jig. 5. J'emploie habituellement tous les jours ces deux méthodes comparative- ment, afin d'être fixé sur leur valeur rela- tive, et de contrôler les résultats qu'elles fournissent. Fig. 5. Flacon pgj, ^jj calcul élémentaire que tout le conique a fond ' plat et à capu- mondc saisit, on détermine la richesse to- moitifgran^ talc dc ôOO™'' d'cau en microphytcs d'après deiir. le chiffre des microorganismes décelés par la fraction du liquide analysé. En adoptant cet
. Annales de micrographie. . — 1G4 — de gélatine fondue à 35° et renfermée dans un flacon à fond plat, de la forme représentée par la Jig. 5. J'emploie habituellement tous les jours ces deux méthodes comparative- ment, afin d'être fixé sur leur valeur rela- tive, et de contrôler les résultats qu'elles fournissent. Fig. 5. Flacon pgj, ^jj calcul élémentaire que tout le conique a fond ' plat et à capu- mondc saisit, on détermine la richesse to- moitifgran^ talc dc ôOO™'' d'cau en microphytcs d'après deiir. le chiffre des microorganismes décelés par la fraction du liquide analysé. En adoptant cette façon d'opérer, le volume considérable d'eau qui reste û la dispo- sition de l'expérimentateur peut servir à des études quali- tatives diverses, ce qui, malheureusement, n'est pas possible avec mes anciens procédés et avec les méthodes beaucoup plus récentes publiées par Hesse, Pétri, Fran- kland, de Giacomi, Straus et Wurtz, dans lesquelles tous les germes recueillis sont uniquement utilisés au dénom- brement. Cependant, il est fort important que les analyses de l'air soient à la fois quantitatives et qualitatives, car beaucoup de microbes s'accommodent mal de la basse température à laquelle on est forcé de maintenir les cultures sur géla- tine et qui se montre aussi parfois impropre à leur éclo- sion. Devant ces faits, on admettra alors sans difficulté qu'il faut pouvoir varier à volonté les conditions où les organismes aériens doivent être placés, d'où la nécessité d'en conserver une réserve pour ces expériences complé- mentaires. Quand on prévoit que les atmosphères sont peu riches en microbes, on diminue la dilution et on se sert de matras contenant 100 et même 50*^""= d'eau stérilisée. La quantité de substance soluble s'élevant au maximum û 2 grammes, et 1 centimètre cube d'eau étant au plus dis- tribué dans 10 centimètres cubes de bouillon ou de géla- tine, la teneur du milieu nutriti
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