L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . -uns verds. La foiblefle de leur couleurci,quofitut vient du défaut de parties falines 6c nitreufes, ce qui renJqui ns^copio- çq^ Coquillages mal-fains, peu propres à manger, furtout lesin fcbrcs in- Moules, dont la chair eft dure 6c indigeftc (./). Un Auteur


L'histoire naturelle éclaircie dans deux de ses parties principales, la lithologie et la conchyliologie : dont l'une traite des pierres et l'autre des coquillages : ouvrage dans lequel on trouve une nouvelle méthode & une notice critique des principaux auteurs qui ont écrit sur ces matiéres : enrichi de figures dessinées d'après nature . -uns verds. La foiblefle de leur couleurci,quofitut vient du défaut de parties falines 6c nitreufes, ce qui renJqui ns^copio- çq^ Coquillages mal-fains, peu propres à manger, furtout lesin fcbrcs in- Moules, dont la chair eft dure 6c indigeftc (./). Un Auteur veutcidanc. Rond, même quelles donnent la fièvre. de ^, * La Conchyliologie, ÎÏ. PaktiS. 749Il y en a qui ont des fpirales , des canelures, des boiïes,des pointes, des tubercules, mais en petit nombre ^ les Visforment plufieurs tours , quelques-unes font à étages avec depetites pointes. Le Buccin apellé Buccimtm fluviatile eft laplus belle Coquille deau-douce que nous aîons, elle eft extrê-mement mince, aiant trois étages de même que la thiare,garnis de pointes peu élevées. Sa couleur qui eft communene répond nullement à la fingularité de fa figure. Toutes cesmarques ne femblent point avoir dautres principes que ceuxqui ont été établis dans le Chapitre précédent en parlant desCoquillages de Tii| lîD La Conchyliologie, II. Partie, CHAPITRE CINQUIEMR De quelle manière Je forment hs Coquillages de terre. QUOIQUE la terre foir moins propre à former dQ$ Co-quillases que la mer , les Coquillages terreftrcs , fui-tefiis aiiquot ^aiic un (a) Naturaliltc , égalent ceux de la mer, sus ne eircma. furpallcnc. Il met pour le prouver la plupart des Limaçons &•inas. Lijier j^, petits Buccîns marins parmi les terreftres, de manière quiltfis pr^fat. y a plus des trois quarts de ces Cocjuillages qui lont marins,P^-f- & il en convient lui-même. {i>) Gelner eit dun fentimenten- (i)Aquarum tiércmcnt opofé.ccrtc moles • i i r i


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