Revue de l'art chrétien . éque » (p. 71). Peut-êtredoit se transformer en certainement, car la mitre,la crosse et la chape (appelée partout inanteaitdans louvrage) dénotent lévéque de Toulouse,que les fleurs de lys et le sceptre proclament derace royale. Ces quelques citations prouveront avec quelsoin méticuleux il importe de décrire les minia-tures, que lon comprendra toujours sans peineen tenant compte à la fois des règles iconogra-phiques et des particularités propres à chaquepériode de lart. X. B. de M. ORIGINES FRANÇAISES DE LARCHITEC-TURE GOTHIQUE EN ITALIE, par C. EXLART. In-8°, 335 pp.
Revue de l'art chrétien . éque » (p. 71). Peut-êtredoit se transformer en certainement, car la mitre,la crosse et la chape (appelée partout inanteaitdans louvrage) dénotent lévéque de Toulouse,que les fleurs de lys et le sceptre proclament derace royale. Ces quelques citations prouveront avec quelsoin méticuleux il importe de décrire les minia-tures, que lon comprendra toujours sans peineen tenant compte à la fois des règles iconogra-phiques et des particularités propres à chaquepériode de lart. X. B. de M. ORIGINES FRANÇAISES DE LARCHITEC-TURE GOTHIQUE EN ITALIE, par C. EXLART. In-8°, 335 pp. 1131 vignettes, 34 pi. Paris, Thorin,(ôô fasc. de la Biblioth. des Écoles françaisesdAthènes et de Rome). u N mémoire de notre estimé collaborateur sur_ les Origines bourguignonnes de larchitecturegothique en Italie, dont nous avons donné ici desextraits, et qui a été désigné par lAcadémie desInscriptions et Belles-Lettres pour la médaille dela Société centrale des architectes français, a. Coupe transversale de léglise du Saint-Sépulcre à Barletta. été le point de départ et le noyau du livre im-portant dont le titre est ci-dessus. -Son auteur aeu la bonne pensée de généraliser le sujet de lathèse intéressante, que nous venons de rappeler,en y ajoutant des notices sur les types darchitec-ture non bourguignonne importés dans la pénin-sule, et même de courtes notes sur les grandsmonuments déjà très connus. Ce beau volume, illustré dune manière distin-guée, qui réunit les fruits abondants dii séjour enItalie du pensionnaire distingué de lÉcole fran- Bibltograpl)te, 241 çaise de Rome, complétés plus tard par les étudesdu suppléant de M. de Lasteyrie, dans la chairede J. Quicherat, à lécole de Chartes, est un desplus instructifs quait produits cet institut. Il aété lobjet dun intéressant article, signé « dAu-teuil » dans la Vérité du 19 juin. Nous repro-duisons celui-ci, persuadé que nous ferions tort àM. Enl
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