Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . urla race mérovingienne. Les papes délivrèrent la familledHcristal de ces scrupules, et Pépin le Bref, maire héré-ditaire des royaumes francs, peut sans peine devenir roihéréditaire. MairÉ-LEVESCAULT, comm. des Deux-Sèvres, à 20 kilom. de Melle ; 921 hab. Minerai de fer. Fours àchaux. Restes dun prieuré du xiv* siècle, fondé vers 550par saint Junion. HIaiRENA del Alcor, bourg et municipalité dEs-pagne (Andalousie [prov. de Séville]) ; hab. Bestiaux. MAIRESSE (mè-ress) n. f. Femme dun maire, (Se ditsouvent par p
Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . urla race mérovingienne. Les papes délivrèrent la familledHcristal de ces scrupules, et Pépin le Bref, maire héré-ditaire des royaumes francs, peut sans peine devenir roihéréditaire. MairÉ-LEVESCAULT, comm. des Deux-Sèvres, à 20 kilom. de Melle ; 921 hab. Minerai de fer. Fours àchaux. Restes dun prieuré du xiv* siècle, fondé vers 550par saint Junion. HIaiRENA del Alcor, bourg et municipalité dEs-pagne (Andalousie [prov. de Séville]) ; hab. Bestiaux. MAIRESSE (mè-ress) n. f. Femme dun maire, (Se ditsouvent par plaisant.) MaiRET (Jean), dramaturge français, né et mort àBesançon (1604-1686). Il appartenait à une famille de gen-tilshommes allemands, qui, très catholiques, avaient fuileur pays en haine de la Réforme. Après de bonnes étudesà Besançon, Mairet fut placé au collège des Grassins, àParis. Dès 1620, il donnai Chrjjséide et Arimand, tiré delAstrée, qui eut du succès, et, en 1621, St/hie, qui bientôt lit( attacha alors à Montmo. Mairet. arriva ù sa treizièmrency, et le suivit à Ke et éron,oû il so battu I ra\cment et prophétisa en \ isbien tournés la prise do LaRochelle. Nomme résident ioFranche-Comté à la cour iFrance par la protection duroi dEspagne, il devmt suspect à Mazarin, fut exile etne rentra en faveur qu aprèsla paix des Pyrénées Parmi ses œuvres citonsSylvanire (1625), tirée ausside VAstrée; les Galanteri sdu duc dOssonne (1627 tirées de Christoval le SihaVirginie (1628), où « il restreignait en peu de vers tantde matière, sans confusionet sans sortir des règles fondamontales de la scèneSophonisbe (1627), son chef-dœuvre, dont le sujet fut pris avant lui par Saint-Gelaiset par Montchresticn, et après lui par Corneille et parVoltaire ; ^a Mort de Mustapha (\629); Cléopâtre (1630);Jtoîand furieux (1625) ; Vlllustre Corsaire (1637); Athénaîs(1642); des lettres, des poésies, etc. Mairet a applimié
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