. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . VINGT JOURS DAGONIE. 13:î Je revins sur mes pas, demandai à Capôco une entrevueet le mis au fait de ce qui marrivait. Il me conseilla dallerà la libata de son oncle qui sans doute remédierait à tout. Je;partis donc, et peu après je passais la Galaé, coulant du nordau sud, vers le Counéné, et ayant, à cet endroit, un courantviolent avec une largeur de 30 mètres sur 1 de profondeur. Les plaines quelle arrose sont vastes, légèrement onduléeset couvertes de graminées, parmi lesquelles su


. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . VINGT JOURS DAGONIE. 13:î Je revins sur mes pas, demandai à Capôco une entrevueet le mis au fait de ce qui marrivait. Il me conseilla dallerà la libata de son oncle qui sans doute remédierait à tout. Je;partis donc, et peu après je passais la Galaé, coulant du nordau sud, vers le Counéné, et ayant, à cet endroit, un courantviolent avec une largeur de 30 mètres sur 1 de profondeur. Les plaines quelle arrose sont vastes, légèrement onduléeset couvertes de graminées, parmi lesquelles surgit parfoisun dragonnier solitaire. On dirait que le sol y est de forma-tion animale car, en entier, il est couvert dun vérital)iemonde de fourmis blanches ; ou plutôt il le Termitière haute de 4 mètres et couverte de végétation, sur les bord>de la Calaé des Ganeuélas. Un pont, grossièrement construit de troncs darbres, unitles deux rives. Une centaine de mètres plus haut, la Calaé areçu un affluent important, la Couçoucé, qui lui apporte unequantité deau égale à la sienne. Continuant à marcher versle , je passai à dix heures près de la libata du sécoulo(^diacaquimbamba. Une foule de gens étaient réunis à len-trée. Je mavançai sans quils dissent un mot ; mais je navaispas fait cinquante mètres lorsquune grande rumeur sélevade leur côté et Vérissimo accourut en toute hâte mapprendreque la cause de tout ce tapage était un de nos porteurs. Je revins en arrière et trouvai le nègre Jamba, auquel était 134 COMMENT JAI TRAVERSÉ LAFRIQUE. confié le soin de porter ma valise, dans une Ycritable colè naturels lui avaient dérobé son fusil dautant plus aisé-ment qu il navait pas voulu laisser tomber la malle où é


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