. Bruxelles à travers les âges . e sur les murs ducaveau. Sur le mur intérieur, àgauche, se lisaient les inscriptionssuivantes en caractères gothiques : In hac tumba jacet Johannessecundus, dux lotharingle, bra-bantle et llmburgle, qui obiit ANNO MCCCXII. A côté, sur la même muraille :Hic subtus jacet Margareta,Eduardi primi Régis Angli^e filia,qu/e erat conthoralis johannissecundi, ducis troisième inscription se trouvait sur le mur, à droite : IN HAC TUMBA JACET NOBILIS AnTONIUS, FILIUS PRIMOGENITUS ILLUSTRISSIMI ETSTRENUISSIMI PRINCIPIS DoMINI PHILIPPI BURGUNDEE, LoTHARINGLE,


. Bruxelles à travers les âges . e sur les murs ducaveau. Sur le mur intérieur, àgauche, se lisaient les inscriptionssuivantes en caractères gothiques : In hac tumba jacet Johannessecundus, dux lotharingle, bra-bantle et llmburgle, qui obiit ANNO MCCCXII. A côté, sur la même muraille :Hic subtus jacet Margareta,Eduardi primi Régis Angli^e filia,qu/e erat conthoralis johannissecundi, ducis troisième inscription se trouvait sur le mur, à droite : IN HAC TUMBA JACET NOBILIS AnTONIUS, FILIUS PRIMOGENITUS ILLUSTRISSIMI ETSTRENUISSIMI PRINCIPIS DoMINI PHILIPPI BURGUNDEE, LoTHARINGLE, BRABANTEEET LlMBURGEE DUCIS MODERNI, NECNON FLANDREE, ArTESEE , BURGUNDEE ET Namurcensis COMITIS, quiquidem Antonius ôbiit ANNO MCCCCXXXI; QUINTA DIE MENSIS FEBRUARII. Lorsque lon ouvrit le caveau pour y faire les préparatifs de linhumation du princeroyal, on y trouva un coffre en plomb, à côté duquel gisait une épée à large poignée,faite pour les mains robustes des preux dautrefois. Le fourreau était dargent et. Le prince royal Louis Philippe-Léopold,né le 24 juillet i833 et mort le 16 mai 1834, au château de Laeken. Portrait de é du dessin original, communiqué par Madame Madou. CHAPITRE PREMIER. 89 couvert de damasquinures représentant des lions traversés dun pal, ce qui est, enlangage héraldique, le signe de la bâtardise. La lame était si étroitement attachéeau fourreau par la rouille quy avait déposée lhumidité des siècles, que lon ne put,malgré les plus grands efforts, len retirer. On supposa que cette épée avaitappartenu à un fils naturel de Philippe le Bon. A côté de lépée était une boîte en bois de chêne. Elle renfermait une urne au colélancé, de ligne pure, en argent doré, contenant le cœur du prince Ernest. Elleportait cette inscription : Ser. - Ar-chid. Aust. Bel-gii - gubern. brus-sellis - A - C - M. D. XX. Feb. Piiss. De-functi - Cor - Hocin Vasculo con- DlTUR. Enfin sur une des t


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