Caractère et origine des idées du bienheureux Raymond Lulle . qua-druple. Nous avons montré le moyen par lequel les nauto-niers peuvent juger le détour du lieu où ils veulent les 16. Jaloque, vent du Sud-Est; Tramontane, du Nord; Libèche, du Sud-Ouest, etc. 17. Ars ultima et generalis, édit. Zetzner, p. 55o du ch. cxi, et Grand etdernier art, édit. F. Vassy, Paris, i634, l»p. 52 1-522. 17. Le par de la vieille édition française équivaut à sur, aller sur le Sud parexemple, sur lOrient. Je rectifie avec le texte latin la j)lupart du temps. : SAVA^T. iG3 principes géiioraux sans le
Caractère et origine des idées du bienheureux Raymond Lulle . qua-druple. Nous avons montré le moyen par lequel les nauto-niers peuvent juger le détour du lieu où ils veulent les 16. Jaloque, vent du Sud-Est; Tramontane, du Nord; Libèche, du Sud-Ouest, etc. 17. Ars ultima et generalis, édit. Zetzner, p. 55o du ch. cxi, et Grand etdernier art, édit. F. Vassy, Paris, i634, l»p. 52 1-522. 17. Le par de la vieille édition française équivaut à sur, aller sur le Sud parexemple, sur lOrient. Je rectifie avec le texte latin la j)lupart du temps. : SAVA^T. iG3 principes géiioraux sans lesquels le Navire ne peut être en mou-vement, principes (|ui sont : le point, la ligne, le triangle, lequadrangle, et la tliminution dun mille des quatre milles versle Jaloque est de deux des huit milles vers le Midi, et ainsi desautres. Nous avons maintenant lintention de donner une doc-trine et un Art par lesquels les nautoniers sachent connaître enquel lieu de la mer est le Navire et nous avons lintention den Tramontane Occident Nord Orient. Li bêche Midi Jaloque Figure de la l\lav/galion donner des exemples, nous basant sur la distance qui existeentre deux montagnes*^. » Comme il serait trop long de citerLulle lui-même, résumons la suite : Supposons trois montagnes situées sur lOrient, le Jaloqueet le Midi, distantes de quatre milles du port et représen-tées par les lettres LMN sur la figure précédente. Désignonspar O une quatrième montagne située au Midi et distantede huit milles de ce port. Deux questions sont posées : Quelledistance y a-t-il de L à M et à N ? De combien O est-il éloignéde L et de M.^ On répond à peu près de la manière suivante à la premièrequestion : Les marins considèrent les distances par la multipli-cation des milles et la déviation de la route. Si quatre milles ib. Même traité, [)p. 522-523, Weyler y Lavifia, p. 335. l6/i CARACTERE ET ORIGINE DES IDEES DE RAYMOND LULLE. se ramènent à trois par dévi
Size: 2202px × 1135px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No
Keywords: ., bookcentury1900, bookdecade1910, bookidcaractreetor, bookyear1912