Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . ¨s à Coni^tantinople, pendant près de ioixante ans que \es empereursFrançois y régnèrent. Raymon Montanero, auteur Catalan,dit que de ion temps, en i 300, on parloit dans la Morée&: dans le duché dAthènes aulii bien François quà ceil, en quelque fiçon, à la néceffité que notre ancienneiaiigue Romance dut f)n étabiiiîèment dans tous ces payS;,. Ppp
Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres, depuis son establissement jusqu'à présent : Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie depuis son renouvellement jusqu'en 1710 . ¨s à Coni^tantinople, pendant près de ioixante ans que \es empereursFrançois y régnèrent. Raymon Montanero, auteur Catalan,dit que de ion temps, en i 300, on parloit dans la Morée&: dans le duché dAthènes aulii bien François quà ceil, en quelque fiçon, à la néceffité que notre ancienneiaiigue Romance dut f)n étabiiiîèment dans tous ces payS;,. Pppp iij %yo M E ?vl O î R E S ^ fur-tout en Angleterre, où Guillaume le Conquirantavoir ordonne que perlonnc, dans la Cmir du Roi, neplaklât quen François ; Se de plus, que les tv&à ws que londeflinoit à lctude, commençaient à apprendre la langueFrançoife avant la langue Latine ; ce qui rubfifloit encoreen 1350. fuivant Robert Holkot, dominicain Anglois,qucz duo lifyue hodie ohfervantar : notre François moderne,parle aujourdhui dans toute lEurope, ne doit fc)n étendue& fa célébrité quau règne brillant de Louis XIV, 5c auxbons ouvrages François en to«s genres qLii ont iiluflré celong rè DE LITTERATURE. ôy REMAR(IUES Sur la langue Françoife des XII. à XIII. fiècles, comparée avec les langues Provençale, Italienne if Efpagnole, dans les mêmes fiècles. Par M. DE LA CuRN£ DE SJ^ PaLAYE. CE lêroit retrancher un â^s principaux objets furlefqneîs n Malelprit philolophique doit sexercer, que de ncglioer ^75-î étude des Langues, Se de méprifer la recherche à Qs ctynio-logies, qui en fait une partie des plus efîèntielles. Lautorité de M. deLéibnitz ne lèroit-e!ie pas capable deramener ceux qui penlèroient différemment! Ce grand hommea iènti toute lutilité de cette étude, pour démtler \qs originesdes Nations ; mais nou
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