. Bulletin de la Socit dendrologique de France. Trees; Trees -- France. 14 NOTES SUR LES ABIÃTINÃES faciliter les recherches et les comparaisons, nous ne tiendrons compte que clos feuilles des rameaux stériles, en choisissant autant que possible le ramule de prolongement, le mieux constitué. Ces réserves faites, on peut tirer de bons caractères pratiques de la forme générale de la feuille, de celle de son extrémité {apex) et de sa base, de sa coloration, de ses dimensions et de sa section. En ce qui concerne la forme générale, on peut, en tenant compte de ce que nous avons dit plus h
. Bulletin de la Socit dendrologique de France. Trees; Trees -- France. 14 NOTES SUR LES ABIÃTINÃES faciliter les recherches et les comparaisons, nous ne tiendrons compte que clos feuilles des rameaux stériles, en choisissant autant que possible le ramule de prolongement, le mieux constitué. Ces réserves faites, on peut tirer de bons caractères pratiques de la forme générale de la feuille, de celle de son extrémité {apex) et de sa base, de sa coloration, de ses dimensions et de sa section. En ce qui concerne la forme générale, on peut, en tenant compte de ce que nous avons dit plus haut de sa variabihté, 20 22 21 23 26 29. Fig. 20 : Feuille ovale A. /irmu . â Fij;-. 22 : Apex de la feuille d'.4. hractenla. â Fig. 21 : Feuille spalulée (A. nobilis!. â Fig. 23 : .\pex ogival. â Fig. 2i : .\pex arrondi émarginé. â Fig. 25 : Apex tronquc-cmarginc. â Fig. 26 : .\pex bifide dA. firma. â Fig. 27 : -Vpcx bifide dA. Wehbuimi. â Fig. 28: Apex biseauté (.4. nohilis}.â Fig. 29 : base d'une feuille montrant l'em- base e et la torsion de la feuille. â Fig. 30 : embased'A. Pinsapo de profd). Les fig. 23 à 30 très grossies. indiquer pour chaque espèce une forme qui est la plus générale sur les ramules latéraux stériles. â C'est ainsi que nous quali- fierons, pour abréger, de parallèles, les feuilles dont les bords sont sensiblement parallèles sur presque toute leur longueur [A. Nordmanniana, grandis, etc.). Chez d'autres [A. ciUcica^ cephalonica, firnia, etc.), la largeur va en s'atténuant graduelle- ment vers les extrémités : nous les dirons ohlonyues (fig. 20). Chez beaucoup d'espèces, la base, au-dessus de l'embase, est plus ou moins rétrécie : chez certaines, ce rétrécissement, plus graduel, commence vers la partie moyenne de la feuille, d'où une forme générale spalulée, apparente surtout chez .1. nohilis (fig. 21).. Please note that these images are extract
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