Le Monde moderne . ers font irruption au moment où sereferme la porte libératrice, tandis que M deLavalette baise avec reconnaissance la main deson sauveur. Cest un amusant tour de passe-passe très dex-trement exécuté. Il est à présumer que. pendantde longs soirs, le public ira chercher dans cettepièce un plaisir sans émoi quil est sûr dy ren-contrer. MvrnicE Lefevmk. LA MUSIQUE TuKAruK i)K Monte-Carlo. — Mruallne, tragédie lyrique on quatre actes et cinq tableaux, de MM. Armand Silvestre et K. Morand, musique de M. Isidore de l^int. Selon ses bonnes et louables ;l)iludcs. il nest l>i


Le Monde moderne . ers font irruption au moment où sereferme la porte libératrice, tandis que M deLavalette baise avec reconnaissance la main deson sauveur. Cest un amusant tour de passe-passe très dex-trement exécuté. Il est à présumer que. pendantde longs soirs, le public ira chercher dans cettepièce un plaisir sans émoi quil est sûr dy ren-contrer. MvrnicE Lefevmk. LA MUSIQUE TuKAruK i)K Monte-Carlo. — Mruallne, tragédie lyrique on quatre actes et cinq tableaux, de MM. Armand Silvestre et K. Morand, musique de M. Isidore de l^int. Selon ses bonnes et louables ;l)iludcs. il nest l>iis de sjiison Ihéàtiale, li Monte-Carlo, dont M. Cunsboui-^ ne relianssc léclal . pai- laUi-ail Mevsaline parait. Les conversations se taisent elce ne sont quhypocrites adulations clic firéfère les téméraires refrains que chantent, auoin, guides par Harès, des bandes de révoltés. Surlordre de limpéralrice, Harès est amené en saprésence. Indomplable, il ;i l\ fuco de Mev-. Décor du ème acte, quat dune ou de plusieurs grandes premières représen-tations doeuvres musicales inédites. Le 21 mars dernier ce fut la belle tragédielyrique Mcssaline. cpii eut les honneurs de la érêt de cette œuvre, indépendamment de soninoonleslable valeur musicale, réside dans lesthé-licpic psychologie par la(|iiclle poètes ont, si-non excusé, du moins prescpie jusiilié en de vers les débordemcnis de ré|)c)usc de Claude. Ce nest plus la débauchée clïrénée dont lhis-tiiirc a cloué à léternel pilori et le nom et lef-figie ; mais une infatigable poursuivante de ceUedécevante chimère sentimentale, lamour, (pie loncherche vainement, dhumanité en humanité,sans en jamais pouvoir atteindre même lombre. An premier acte, nous sommes dans les .jardin>du palais impérial. Toute une foule de scrvanle>.desclaves, dalTrnncliis et de courtisans attend leréveil de Vnléria Messalina ! On parle dllélion(M. T


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