La Chine et les Chinois . a-lin, réservées auxfonctionnaires de lordre le plus élevé, et la plume appelée lan-lin. encore assezestimée. Les soldats qui se distinguent par quelque action déclat reçoivent desqueues de renard : les plumes et les queues se portent au chapeau, el horizonla-lement couchées en arrière du globule. Les titres que jai donnés aux magistrats cités plus haut sont ceux que leur allriliuela liste trimestrielle; cest ainsi que lempereur et son gouvernement les dé petit peuple néanmoins les connaît sous dautres noms, et eux-mêmes, lorsquilsont ;i se désigner personne


La Chine et les Chinois . a-lin, réservées auxfonctionnaires de lordre le plus élevé, et la plume appelée lan-lin. encore assezestimée. Les soldats qui se distinguent par quelque action déclat reçoivent desqueues de renard : les plumes et les queues se portent au chapeau, el horizonla-lement couchées en arrière du globule. Les titres que jai donnés aux magistrats cités plus haut sont ceux que leur allriliuela liste trimestrielle; cest ainsi que lempereur et son gouvernement les dé petit peuple néanmoins les connaît sous dautres noms, et eux-mêmes, lorsquilsont ;i se désigner personnellement, emploient certaines locutions diverses pour leursdiveis rangs: ainsi : s 24 FONCTIONNAIRES CIVILS. Le tSbfi-tK, appeh pai le peuple tmi-lay, se qualifie kii-mèmc de pcn-li;; Le svbTi-fb-, — Le pb-tuian-ssô, —Le nnan-tiua-ssr», —Le lao, — Le tiul-fb, — Le tiui-iuyen, — fb-tay, fan-tay, iiyé-tay, tao-tay, fK-tsun, niin-fb, peu-yuan ;pen-sso ;pcn-ssit ;peii-lao ;peii-fs ; MAlilSrHAl DU HANC ÉlOUSE D MAGISTliAT DU PIlK-MIKtl BANG Coiffée du fuù-kwan et décorfe dun pou-fou ntouiiié dupiiuiier lan;;. Oii remarquera que le lilre de tay est donné à eliKj de ces fonctionnaires, tnii-tay,t>,-lay. ele. : il est enciUe donné, |>aiini les militaires, aux ti-tb, tsbfi-pin et fb-lsyafi,(lualiliés alors de li-lay. Iiuen-lay et niyc-tay, ce qui cdnqiliMe ce quon appelle lesliuil iay ( la lay ). QIÎ lOr, Les lonctioiiiiaircs chinois sadrcssant à lempereur, ou en dehors de leurs fonc-lions, se donnent aussi la qualification de tuien, dont le sens est à peu près celuidu mot kwan, et les lonclionnaires mantchous se qualifient de ns-tsi), ou esclaves(de lempereur). Les ministres, , sont appelés ta-tan et luan-iuj;; on leur donne encore,suivant le rang quils occupent à la cour, quelques autres titres. Les ministres, lesgouverneurs généraux, lorsquils sont tai-pao, sont qualifiés de k«n-pa


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