. Dictionnaire des sciences mathématiques pures et appliquées . La redoute. C'est le plus simple des ouvrages fer- més. Elle affecte ordinairement la forme d'un carré j cependant elle est quelquefois polygonale. Comme elle n'a point d'angles rentrants, elle n'a que des feux di- rects, et par conséquent ne peut défondre son fossé. De plus, devant chaque saillant se trouve un secteur prive de feux, déterminé jiar le prolongement des deux fa- ces. Dans les ouvrages formés, la capacité intérieure doit être assez grande pour contenir facilement tout ce qui est nécessaire à la défense
. Dictionnaire des sciences mathématiques pures et appliquées . La redoute. C'est le plus simple des ouvrages fer- més. Elle affecte ordinairement la forme d'un carré j cependant elle est quelquefois polygonale. Comme elle n'a point d'angles rentrants, elle n'a que des feux di- rects, et par conséquent ne peut défondre son fossé. De plus, devant chaque saillant se trouve un secteur prive de feux, déterminé jiar le prolongement des deux fa- ces. Dans les ouvrages formés, la capacité intérieure doit être assez grande pour contenir facilement tout ce qui est nécessaire à la défense. Il existe donc une relation entre le dévelopi'cment d'un ouvrage et sa conte- nance. Soient j; la longueur du côté d'une redoute car- rée; jK le nombre des défenseurs; v celui des honmies compris dans la réserve; nie nombre de rangs d'iiom- mcs placés sur le parapet ; p celui des pièces de canon , et s l'espace nécessaire pour loger ce qui est nécessaire à l'ailillerie exprimé en mètres carrés. Ou aura la re- lation.
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