. Degas. ÉTUDE. FEMME AU TUB hoto Durand-Ruel. bouilloires, les brocs, ne demeurent que des accessoires, rien que desaccessoires. Mais il se peut que, dans ces interprétations du nu, Degas se soit parfoisrappelé les estampes japonaises dOutamaro, figurant des femmes tordantleurs cheveux devant un miroir, pressant léponge ruisselante sur leursépaules et sur leur dos, etc. Paysages. En 1893, Degas expose pour la dernière fois — pour ainsi dire danslintimité, comme la écrit un de ses admirateurs — chez Durand-Ruel, une suite de peintures de dimensions assez réduites, dun dessindes plus arrêtés, d


. Degas. ÉTUDE. FEMME AU TUB hoto Durand-Ruel. bouilloires, les brocs, ne demeurent que des accessoires, rien que desaccessoires. Mais il se peut que, dans ces interprétations du nu, Degas se soit parfoisrappelé les estampes japonaises dOutamaro, figurant des femmes tordantleurs cheveux devant un miroir, pressant léponge ruisselante sur leursépaules et sur leur dos, etc. Paysages. En 1893, Degas expose pour la dernière fois — pour ainsi dire danslintimité, comme la écrit un de ses admirateurs — chez Durand-Ruel, une suite de peintures de dimensions assez réduites, dun dessindes plus arrêtés, des plus voulus, dime coloration délicieuse, chaude,vibrante, peut-être un peu sombre, dun effort tout particulier, qui nontrien à voir avec létude daprès nature, le motif étudié étude daprès nature est un leurre, une erreur, a-t-il dit bien souvent,à propos des peintres qui vont planter leur pliant et leur chevalet devantnimporte quel coin de paysage. Il y a toujours trop


Size: 1569px × 1592px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., booka, bookcentury1900, bookdecade1910, bookpublisherparishfloury