. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . efondu ( ce que je ne puis admet-tre daprès fon jugement, ni nier daprèsîe mien), je penfe que vous êtes le feulde nos fa vans qui fâchiez de quel ton i!convient de relever les erreurs dun grandhomme ; le feul dont lenvie ne dirige pasla critique ; le feul enfin à qui lhonnêtetéde fes intentions , & la fupériorité de feslumières donnent le droit de perfectionnerlouvrage de Roufieau. Je penfe encoreque , fi vous tenez de la nature autant degoût qu
. Oeuvres posthumes de Jean-Jacques Rousseau, ou Recueil de pieces manuscrites, pour servir de Supplément aux editions publiées pendant sa vie . efondu ( ce que je ne puis admet-tre daprès fon jugement, ni nier daprèsîe mien), je penfe que vous êtes le feulde nos fa vans qui fâchiez de quel ton i!convient de relever les erreurs dun grandhomme ; le feul dont lenvie ne dirige pasla critique ; le feul enfin à qui lhonnêtetéde fes intentions , & la fupériorité de feslumières donnent le droit de perfectionnerlouvrage de Roufieau. Je penfe encoreque , fi vous tenez de la nature autant degoût que létude vous a fait acquérir de con-,poiflances, ceft grand dommage que vousvous (oyez borné à écrire fur la mufique. À* M. R O U S S I E R. zSî Si vous jugez à propos , Monfieur , defaire inférer cette lettre dans quelque pa-pier public , non - feulement jy confens ,mais je vous en prie. Loin de rougir delaveu quelle contient , loin que lhom-mage que je vous y rends me coûte , jetrouve lun & lautre aflez bien placés ,pour être très-fâchée que les circonftancesne me permettent pas de men faire MON DERNIER MOT(i).G u Réponfe à la lettre que M. D. L. B. a adref-fèe à M. lAbbé RouJJîer, en tête du Sup-plément à TEfTai fur la mufique , parPauteur de /Errata de lEiTai fur la Mu-fique. J E fuis , Monfieur, la douce & gentilleDame anonyme en faveur de laquelle vo-tre mépris a emprunté le ftyle de la moi qui, dites - vous , vous injurieà chaque phrafe de mon libelle ( 2 ) par un (1 ) Lorfque dans IMntrodn&ion que jai mife à la têt*de ce recueil, jai donné à la précédente lettre le titre dedemiere, je me flàttois quil lui conviendrait toujours. Il yavoithuit mois que , de VEJfai fur la Mufique avoitparu ; & nerfonne ne parloit encore du Supplément à cetFjfai, dont la première, & la feule remarquable partie ,eft la lettre de M. D. L. B. à. M. lMbé RouJJîer. Enfin cefupplément mefi parvenu vers le mois do
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