Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . sur Cliâteaumorand. Il faut noter aussi Couzan qui, plus tard, se soumit ausire de Beaujeu (cf. ch. XIVj. mais qui paraît devoir être cherché dans le Forez-Yiennois. Lhéritier de cette belle baronnie appartenait à la puissante famille des Dauphins de Viennois et comtes dAlbon (mais quil ne faut pas pour cela, comme on Ta fait, appeler dAlbon, nom CRISE PACIFIQUE 3oc qui na jamais été pour eux patronymique). Artaud III, outre sonfils Guillaume Ier, avait laissé, de sa femme Raimonde, une fillen
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . sur Cliâteaumorand. Il faut noter aussi Couzan qui, plus tard, se soumit ausire de Beaujeu (cf. ch. XIVj. mais qui paraît devoir être cherché dans le Forez-Yiennois. Lhéritier de cette belle baronnie appartenait à la puissante famille des Dauphins de Viennois et comtes dAlbon (mais quil ne faut pas pour cela, comme on Ta fait, appeler dAlbon, nom CRISE PACIFIQUE 3oc qui na jamais été pour eux patronymique). Artaud III, outre sonfils Guillaume Ier, avait laissé, de sa femme Raimonde, une fillenommée Ida qui, veuve en premières noces de Renaud deNevers,dont elle avait eu une fille mariée à Milon de Courlenai, épousaGuy ou Guignes (Vuigo), fils cadet de Guy V, dit le Vieux, comtede Viennois, dAlbon et de Graisivaudan. Ensuite de cette illustrealliance, Guy prit,du nom de sa belle-mère, le surnom deRaymond. Ce futau fils de ce Guy-Raymond, nomméGuy comme lui,quéchut le comtéde Forez aprèslextinction de lapremière race. Au moment mê-me où cette pre-mière race sétei-. Fig. .5oo. — BUSSIÈRE Daprès une photographie de M. Raimond llensoul. Les historiens locaux ne fournissent aucun éclaircissementsur la localité que le comte de Chàlon céda à Guichard ne paraissent même pas daccord : les uns écriventBussière, les autres, la Bussière. Il est probable quil sagitde Bussière (Saône-cl-Loire), commune limitrophe deCenves et qui dépendait encore en partie du Beaujolaisen 1789. Ce village de 5oo habitants possède une égliseromane. Ses maisons sont construites dans le mêmegoût que celles de notre région lyonnaise. gnait, la fortune des sires de Beaujeu prenait son essor. Guichard III, fils dHum-bertll et véritable fondateur de la puissance de sa maison, profi-tait habilement des circonstances. Déjà Saint-Trivier-en-Dombeslui avait été cédé par Kustache, comte de Forez; Châtillon-sur-Chalaronne par le sire de Bagé; Cenves e
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