. Le Jardin des plantes : description. ter la main dune personne qui la si puMiquement refusé. 88 QUENTIN DURWARD. — Sil métait permis, dit le duc dOrléans, sur lesprit facile du-quel la beauté dIsabelle avait fait une impression profonde, dessayerde me faire agréer par la comtesse, sil métait donné du temps pourjustifier mes pré — Jlonseigneur, dit Isabelle, dont la fermeté était soutenue parles encouragements quelle recevait de toutes parts, ce serait complè-tement inutile; je suis décidée à refuser cette alliance, quoiquellesoit au-dessus de ce que je mérite. — Je ne saurais atte
. Le Jardin des plantes : description. ter la main dune personne qui la si puMiquement refusé. 88 QUENTIN DURWARD. — Sil métait permis, dit le duc dOrléans, sur lesprit facile du-quel la beauté dIsabelle avait fait une impression profonde, dessayerde me faire agréer par la comtesse, sil métait donné du temps pourjustifier mes pré — Jlonseigneur, dit Isabelle, dont la fermeté était soutenue parles encouragements quelle recevait de toutes parts, ce serait complè-tement inutile; je suis décidée à refuser cette alliance, quoiquellesoit au-dessus de ce que je mérite. — Je ne saurais attendre, reprit Charles, que les caprices de cetteenfant changent avec la nouvelle lune. Monseigneur dOrléans, elleapprendra dici à une heure que lobéissance est une nécessité. — Je nen profiterai pas, répondit le prince, qui croyait ne pou-voir abuser sans déshonneur de la tyrannie du duc , avoir été re-pousse formellement, devant tous, cest assez pour un fils de lui est impossible de chasse au héraut Sanglier-Uouge. Charles lança un regard de fureur à dOrléans, puis à Louis; etlisant sur les traits de ce dernier une expression de triomphe maldéguisée, il éclata en propos outrageants. — Ecrivez, dit-il à son secrétaire; nous prononçons une sentencede forfaiture et demprisonnement contre cette fille insolente et re-belle! elle ira rejoindre dans la maison de correction les femmesdéliontées avec les(|uelles elle rivalise deffronteri<. Il y eut un murmure général de réprobation. — Monseigneur, dit le comte de Crèvecœur au nom de ses collè-gues, il faut réfléchir ]ilus niùremcnt sur cette affaire. Nous, vosfidiIes vassaux, ne saurions so\iflrir quon avilisse ainsi la noblesseet la chevalerie de {{oiinjoijnc. Si la comtesse a commis des fautes,([uellc en subisse le châtiment; mais (|uil soit convenable ii son rang,et au rang de ceux qui sont unis à sa maison par le sang et par lesalliances. du
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