. Beihefte zum botanischen Centralblatt. Plants. Servettaz, Monographie des Eleagnacees. 367 et nous semblent appartenir ä Fembryon proprement dit, le tissu de Penetration demeurant tres reduit. Developpement compare de l'embryon. Les Premiers Stades du developpement de l'embryon dans les genres Shepherdia et Elaeagnus sont les memes que pour Hippo- pJiae rhamnoides. Dans tous les genres, on voit d'abord se constituer une Serie axile de 3 cellules, mais la segmentation de la cellule la plus interne, la ,,boule du germe" comme l'appelle H a n s t e i n , ne se produit pas toujours de la me
. Beihefte zum botanischen Centralblatt. Plants. Servettaz, Monographie des Eleagnacees. 367 et nous semblent appartenir ä Fembryon proprement dit, le tissu de Penetration demeurant tres reduit. Developpement compare de l'embryon. Les Premiers Stades du developpement de l'embryon dans les genres Shepherdia et Elaeagnus sont les memes que pour Hippo- pJiae rhamnoides. Dans tous les genres, on voit d'abord se constituer une Serie axile de 3 cellules, mais la segmentation de la cellule la plus interne, la ,,boule du germe" comme l'appelle H a n s t e i n , ne se produit pas toujours de la meme fagon: sa premiere division est, tantot transversale de fagon ä constituer une serie de 4 cellules comme chez les Hippophae, tantot eile est longitudinale et suivie d'une autre division meridienne perpendiculaire ä la premiere, ainsi qu'on l'a souvent constate pour d'autres especes de plantes. Faute de materiaux recueillis ä des epoques suffisamment rapprochees, nous n'avons pu suivre que de loin en loin le deve- loppement de l'embryon des Shepherdia; toutefois ce que nous en savons nous permet de supposer que le processus de ce developpe- ment est le meme que pour H. rhamnoides. Nous n'avons pas eprouve le meme inconvenient pour le genre Elaeagnus dont nous avons etudie E. pungens. Apres avoir franchi les premiers Stades de son developpement, l'embryon de cette espece (fig. 130), se distingue dejä assez nettement de celui de VH. rhamnoides: au stade (I), on voit que le suspenseur est beaucoup moins distinct de l'embryon proprement dit que. Fig. 130. Developpement de l'embryon chez Elaeagnus pungens (lettres comme dans la figure pröcedente); gr. 180. chez H. rhamnoides; ses cellules ne sont point differenciees par leur taille et leur contenu, et les premiers elements issus du cloi- sonnement de l'hypophyse etablissent une continuite entre les tissus du suspenseur et ceux de l'embryon. Ulterieurernent (II, III), les cellules du suspenseur se multiplient et demeurent tre
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