. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... — 174 —. FiG. 32-3;. — Abronia cycloptera. (Dessin obtenu à l'aide du fruit lui-même et par auto-impression. Nous n'avons fait que repasser très scrupuleusement à l'encre la trace des nervures, afin d'en pouvoir faire le cliché). celles observées sur quelques échantillons, mais sont absolument identiques à celles de la majorité. Chez un certain nombre de types du Cycloptera du Nouveau Mexique, ces ner- vures sont interrompues sur la loge séminale centrale de haut en bas, par des côtes saillantes, mais dan
. Annales du Musée d'histoire naturelle de Marseille, published aux frais de la ville ... — 174 —. FiG. 32-3;. — Abronia cycloptera. (Dessin obtenu à l'aide du fruit lui-même et par auto-impression. Nous n'avons fait que repasser très scrupuleusement à l'encre la trace des nervures, afin d'en pouvoir faire le cliché). celles observées sur quelques échantillons, mais sont absolument identiques à celles de la majorité. Chez un certain nombre de types du Cycloptera du Nouveau Mexique, ces ner- vures sont interrompues sur la loge séminale centrale de haut en bas, par des côtes saillantes, mais dans d'autres types de la môme espèce provenant de régions différentes, et notamment dans les formes du Missouri et des régions monta- gneuses du Wyoming et du Rio-Grande (Nouveau-Mexique) désignées sous le nom de Abronia micrantha par Torey, et dont Asa Gray fait VAbronia ocloptera (i), on observe le passage du réseau d'une aile à l'autre, réseau caché il est vrai, par une cuti- cule parcheminée qui, suivant qu'elle a pris part à la fossilisation ou qu'elle a été enlevée par la carbonisation ou la macération, permet d'expliquer pourquoi sur certaines empreintes le réseau veineux ne s'aperçoit pas, alors qu'il est si marqué chez les autres. Enfin, une autre espèce Abronia Crux- Malta' Kellog. présente un réseau des plus nets, occupant le centre du fruit. Nous avons représenté photographiquement une empreinte et un spécimen natu- rel. C'est le seul genre qui, jusqu'à présent nous montre nettement ce réseau alvéolaire central absolument iden- tique à celui qu'on observe quand on prend une empreinte, au plâtre, du fruit fossile et que l'on aperçoit nettement en creux sur un grand nombre de figures. Qui plus est, on est frappé de la simililude absolue pour ainsi dire, qui existe entre la photographie du fossile (fig. 5, pi. XIII) et celle du fruit actuel (fig. 18, 19, 20, pi. XIII), dont la loge séminale a été brisée. Tous ces d
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