Tissus et nouveauts 1900 . d qui ne veut pas lire, le marchand qui nese tient pas au courant des questions qui intéressent soncommerce, en porte toujours la peine. Tous les marchands qui liront TISSUS et NOU-VEAUTÉS feront bien de parcourir attentivementles pages dannonces; ils y trouveront des rensei-gnements intéressants pour leur commerce et si,lorsquils écriront à leurs fournisseurs de gros oulorsquils iront les trouver pour avoir quelques-unesdes marchandises annoncées, ils voulaient bienmentionner le fait quils ont vu lannonce dansTISSUS et NOUVEAUTÉS, ils nous donneraient unbon coup dép
Tissus et nouveauts 1900 . d qui ne veut pas lire, le marchand qui nese tient pas au courant des questions qui intéressent soncommerce, en porte toujours la peine. Tous les marchands qui liront TISSUS et NOU-VEAUTÉS feront bien de parcourir attentivementles pages dannonces; ils y trouveront des rensei-gnements intéressants pour leur commerce et si,lorsquils écriront à leurs fournisseurs de gros oulorsquils iront les trouver pour avoir quelques-unesdes marchandises annoncées, ils voulaient bienmentionner le fait quils ont vu lannonce dansTISSUS et NOUVEAUTÉS, ils nous donneraient unbon coup dépaule. LES MARCHANDS ON REND LARGENT En dehors de Montréal qui, après avoir jugé par eux-mêmes de la valeur de Tissus et Nouveautés, daprèsles numéros de janvier, février et mars qui sont envoyésgratuitement, désireraient continuer à recevoir cettepublication entièrement dévouée à leurs intérêts, sontpriés de nous en donner avis par écrit. Labonnementnest que de par année. LA PRESENTEZ VOS COMPTES |e marchand détailleur fait généralementcrédit, tout au moins à une partie de saclientèle, et sexpose par ce fait même àsubir des pertes que ne connait pas lemarchand qui ne vend quau comptant,le grand bazar, par vente à crédit, en exposant le mar-chand à des pertes, loblige à marquersa marchandise à des prix un peu plusélevés que son concurrent qui ne faitpas crédit, de là un désavantage. Maisle crédit quil obtient est parfois la seule raison qui dirigeles pas de lacheteur dans tel magasin plutôt que dans telautre, et il est à craindre—ou à espérer, suivant le pointde vue auquel on se place—quil y aura toujours desmagasins vendant à crédit. Il y aura toujours par conséquent des marchandsexposés à subir des pertes. Mais ces pertes seront plus ou moins légères selon quele marchand veillera de plus près ou de plus loin à larentrée des crédits. Une bonne habitude à prendre pour ceux qui ne
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