. Bulletin de la Société botanique de Genève . n sinuosités ou, senroulentà la façon dune racine vrille (comme chez un T;rinoj)li!///iiiii) (fig. 83et 84)^ Il y a donc deux appareils de fixation, les poils (pu saccolentà la branche et les racines prenantes par contact et plus ou moinsdorsiventales. Nous avons examiné le mode de lixation de ces racinesjeunes et nous avons reconnu que la piaule ne fait \k\> ipie de s;ipi)li- Voir Iv. Chodat, Principes de botanique 11^ Ed. (1911). Id. pg-. WS. i7/ 2-20 BUi>LETlN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (143) quer contre Tliôte iiiais y enfonce par


. Bulletin de la Société botanique de Genève . n sinuosités ou, senroulentà la façon dune racine vrille (comme chez un T;rinoj)li!///iiiii) (fig. 83et 84)^ Il y a donc deux appareils de fixation, les poils (pu saccolentà la branche et les racines prenantes par contact et plus ou moinsdorsiventales. Nous avons examiné le mode de lixation de ces racinesjeunes et nous avons reconnu que la piaule ne fait \k\> ipie de s;ipi)li- Voir Iv. Chodat, Principes de botanique 11^ Ed. (1911). Id. pg-. WS. i7/ 2-20 BUi>LETlN DE LA SOCIETE BOTANIQUE DE GENEVE (143) quer contre Tliôte iiiais y enfonce parfois ses suçoirs (tii;. 85). Cest-à-dire que ]a poition de la racine aplatie se moule exactement sur lesfentes de Técorce, y enfonce des cellules qui, sécrétant un mucilage,sy cramponnent foitement. il ny a pas lieu de supposer que cetteracine crampon serait capable de percer des tissus à la façon dunparasite; il sagit ici exclusivement dune morpliose indnite par lecontact, un peu comme cela arrive dans les disques dadhésion des. Fig. 86. ~ Germination dune plantule vivipare de Til-lansia Lorentziana Gris. ; on voit les fibres de Faigrettetégumentaire écartées et se prolongeant encore en unepointe; de la base de la plantule dont on voit les poilsécailles, partent des racines qui vont sétaler à leurextrémité en gros disques dadhé Cette plantuleavait germé sur la feuille du T. L. (Dessin de R. C.) vrilles du Quinariu {Ampélopsis) Veitchii ou dans le cas des racinesprenantes dOrchidées épiphytes (Tœniophylhim Zollinf/eri, Phalœ-nopsis Schilleriana Rchb.) On trouve souvent les Cactées des Espinillares, par exemple leCereus Bonplandii Parni., complètement envahis par ces épiphytes qui yaccompagnent le Polypodium vaccinifolium L. et F., fougère à rhizomesrampants et qui enveloppent de leurs lacis la surface des troncs (fig. 81).Les Tillandsia fixés abondent dans certaines parties du pays, par exempledans les forêts claii^s du Salado où il


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