. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . ns contrainte passiveVoue à tous les ébats sa nudité lascive,Et triomphe à grand bruil quand un amant discretDe ses déportentnis a gardé le secret;Comme si ce trafic et ce lâche silencel)mi public clairvoyant trompaient la vigilance;Sil ne suffisait pas du souffle ou du regardPour traverser sa ruse et pour ternir son lard Ah! quelle est mieux sans doute, etcombienjepréfêre Cette antre Faculté, cette école étrangère,Où libre de son corps, libre de son volonté lélève apporte son lentement la formidable arèneHt lâche seul


. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . ns contrainte passiveVoue à tous les ébats sa nudité lascive,Et triomphe à grand bruil quand un amant discretDe ses déportentnis a gardé le secret;Comme si ce trafic et ce lâche silencel)mi public clairvoyant trompaient la vigilance;Sil ne suffisait pas du souffle ou du regardPour traverser sa ruse et pour ternir son lard Ah! quelle est mieux sans doute, etcombienjepréfêre Cette antre Faculté, cette école étrangère,Où libre de son corps, libre de son volonté lélève apporte son lentement la formidable arèneHt lâche seul lécluse au courant qui lentraîne! I SéRIK. il 162 SEPTIÈME SATIRE. loint de scribe exigeant qui jamais ait comptéSes quittances de caisse et de scholarité ;Point de protection, de salut nécessaire ;Point de cours dapparat, dofficiel glossaire ;Mais quand aux examens lont ramené ses pas,Cest à lui de prouver quil sait ou ne sait pas ;Prévenu quil soutient une terrible lutte,Quon linterroge à lheure et non à la W* \Ls >^_> W*VW .W%.«W wVw - ^.f*^ ^•?v^* *tV%KK .... - , NOTES DE LA SEPTIÈME SATIRE. 1. Dans les séances solennelles, les professeurs el les agrégés son!rangés en fer à cheval sur des sièges placés au devanl de lestrade oùsonl le *1 o y « • 11 el les assesseurs. 2. Ce livre, le plus précieux des huit ou neuf que possédai! I École, nelui prêté à Louis XI, qui voulait en faire prendre copie, que sous unecaution de plus de 1000livres, déposée par un riche bourgeois de Parisno té Malingre. 3. La Faculté de médecine siégeait, au quinzième siècle, dans cett<rue . Allusion aux examens actuels, où trois juges interrogent eu deuxheures quatre ca


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