Syria . aques entièrement dillerentes des précédentes, tant par les sujetsque par le style. Elles séloignent tout à fait du style assyrien et se relientplus étroitement au style mésopotamien et sumérien de la région de lEu- phrate. Ce sont des divini-tés, des animaux combat-tant, des génies àtête dani-maux comme on en voitsur les cylindres babylo-niens du second millé-naire, il ne semble guèredouteux que ces plaques nesoient plus anciennes queles premières et, commenous savons par le rapportdes fouillcurs que lon aconstaté des remaniementset des reconstructions du palais, il paraît assez natur
Syria . aques entièrement dillerentes des précédentes, tant par les sujetsque par le style. Elles séloignent tout à fait du style assyrien et se relientplus étroitement au style mésopotamien et sumérien de la région de lEu- phrate. Ce sont des divini-tés, des animaux combat-tant, des génies àtête dani-maux comme on en voitsur les cylindres babylo-niens du second millé-naire, il ne semble guèredouteux que ces plaques nesoient plus anciennes queles premières et, commenous savons par le rapportdes fouillcurs que lon aconstaté des remaniementset des reconstructions du palais, il paraît assez naturel de croire que nousavons affaire ici à une partie qui avait subsisté de lancien édifice ou à un rem-ploi de plaques dune époque antérieure *-. Lordre actuel de ces plaques nousest indiqué par la planche B 1, a, où se trouve la vue densemble des deuxangles de constructions que nous venons de mentionner. Cest dabord un sujet (fig. 20, daprès Carch., pi. B 10, a) dont lacomposi-. KiG. 2U. (j Par ex. le registre inférieur du n 67,pi. 24, de mon Cnlatog. des Anliq. assyriennesdu Louvre. (*) -M. Hogarth a admis deux périodes dansla construction, mais il pense que, de toutemanière, la plus récente a été nnlèrUure à laconquête assyrienne ; il constate aussi que parmi les plaques sculptées, il y en a qui sontdun style plus ancien que les autres (Hittiteproblems, dans Proecedinijs of the brilish Aca-deniy, 1911, p. 371). La première période, àson avis, pourrait remonter au treizième ouquatorzième siècle, la seconde vers le on-zième. LAUT HITTITE 27B tion riMiiplil l(> rliaiii[) sans ordre appiUcnl d lail contriislp avec lo solennel etrégulier ildilé des ligureri précétleiili^ : un lii-ros nu un diiU, à dfiui iijïC-uouillc au lciilii. Il haul ilu cnriis ri la tflc de laee, saisit de sa iiuiiii diniUla palli d uu lion ijui lioiidil mms la gauclie et. liisu uiaiii giiuelie, il lient lacorne dun petit taureau [daeé à droite, Uautres an
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