. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . ilzje confole^ rn delà perte de leurfrereidifans que les ennemis n^ auoient pas afe \>anter dauoir contre luy Msé defi grande cruauté y neHantpas la couftume entre les Fiefques^ Fregoux^ ^ ^dornesjenfanglater les mains dufang des aduerfaires: mais feulement efire licite de dehatre entre eux ciuilement delaprincipautéjouruoirementàguerre ouuerte. Dont ie leur fis yn Eléphant affaiUi ddragondequel s entortillât aux iamhes de lennemysa accoufiuméde mettre la morfure defon yen
. Dialogue des devises d'armes et d'amovrs du S. Pavlo Iovio : avec un discours M. Loys Dominique sur le mesme subiet . ilzje confole^ rn delà perte de leurfrereidifans que les ennemis n^ auoient pas afe \>anter dauoir contre luy Msé defi grande cruauté y neHantpas la couftume entre les Fiefques^ Fregoux^ ^ ^dornesjenfanglater les mains dufang des aduerfaires: mais feulement efire licite de dehatre entre eux ciuilement delaprincipautéjouruoirementàguerre ouuerte. Dont ie leur fis yn Eléphant affaiUi ddragondequel s entortillât aux iamhes de lennemysa accoufiuméde mettre la morfure defon yenin au Centre de ÏElephant^par laquelle yenimeti fepicqueure il meurt Mais ïEléphant congnoiffant natu* rellement le danger fe contourne tant ça ^ la^quil trouue quelque pierre, ou tige dartrejà ou s appuyant fe frotte rant^qu ilcreue^ tue ledit ejl belle au y>oirpourla diuerftédes deux animaux: ^ le mot la fait trefclerejifantenEfi^agnoh^ON vos alabareis. Voulant dire aux Fregouxyom rlauezjpas a yous vanter dauoir commifefi grande impieté contre noHrefang, len DE PAVLO lOVIO. 9t. ïen troHUdy y ne autre aux mefmes Seigneurs de Fief-que^fur telproposiqueBanseuxentrairemetctadherer atifarty de Cefar,(j0fe loindreauecles Seigneurs ^dornes^fin fleurs affeBionnezJk leur party ^feruiteurs leur difoiettar manière daduis^au dznefe hajlajpntpoint defe refou-dre a faire les forces du 2toy de France ejîoyet fra^des-^CP* auecles ef^aules de la partieauoitfort hienaffeuréle pied au gouuernement^ ^ elîoitpour gaillardement fe défendre 3 silzjuy mouuoient merreen ce temps la.^ quoy lefdit s Seigneurs de Fiefaue refhon-doyents^u ilzfauoientfort bien commn &^ quand d falloitfairefemhlahles chofes .Etainffur cefe matière me demanderent yne deuife. 2)ont tout Joudamement ie me fouuinsde ce que fer it Time des oyféaux quon appelle vicions de f l 82 DIAL. DES DEVISES ûuelz^pdrinBmB nAturd attendent le SoljUce^ernaliCom-meopponîi
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