L'illustration : journal universel . aint évangélisle à Venise : un calife dAlexandrie vou-lant se construire, en 827, un magnifique palais, faisait pren-dre de toutes parts les matériaux les plus précieux. Leséglises même, et celle de Saint-Marcn ni pas respectées. Deux Vénitiens, I!Itustico de Torcello, visitant alors cettipé< des spoliations exercées au nom ddes prêtres préposés à la garde de léglise la permissiondenlever le corps du saint el de le transporter à Venise pour particulier, ne fu-i de Malamocco etglise, lurent frap-:alife, et obtinrent le mettreLa difficultéseaux vénitiOn ad
L'illustration : journal universel . aint évangélisle à Venise : un calife dAlexandrie vou-lant se construire, en 827, un magnifique palais, faisait pren-dre de toutes parts les matériaux les plus précieux. Leséglises même, et celle de Saint-Marcn ni pas respectées. Deux Vénitiens, I!Itustico de Torcello, visitant alors cettipé< des spoliations exercées au nom ddes prêtres préposés à la garde de léglise la permissiondenlever le corps du saint el de le transporter à Venise pour particulier, ne fu-i de Malamocco etglise, lurent frap-:alife, et obtinrent le mettreLa difficultéseaux vénitiOn adopta Pila fois des ireliques enié< par ellesloiiré de lés il jamaisîle labri de des infidèles,ur un des vais-s ilnis le p ut dAlexandrie ;ni écarter la curiosité tout àien«, ces derniers tenant cesunie vénéraion sur le bruit des miracles opé-le corps fut déposé dans un large panier, en-nes et couvert de quartiers de porc, article en deschi horreur, c mime on sait, à tout bon musulman, et ceux qui. Ziani après son élection en 1172. Cest de lui que datent deuxusages qui se sont perpétués dans la république : 1° la céré-monie des épousailles delà rner qui sest faite, depuis, tous lesans à la fête de lAscension, jusquà la destruction de 1a ré-publique; î La coutume des doges de faire des largesses aupeuple à leur avènement. Les doges qui se succédèrent imi-tèrent sa libéralité comme il avait imité lui-même celle desempereurs. Ces largesses furent limitées à 200 ducats aumoins et S00 au plus de la nouvelle monnaie frappée au nomdu doge, outre quelques pièces dor à sa discrétion quil je-tait en rentrant dans le palais aux pauvres nobles qui seulspouvaient les recueillir. Ce nouveau tableau de M. Bouton est traité avec toute lha-bileté quon lui connaît. Cest un spectacle véritablementfantastique que c*lui de ce tableau unique passant par toutesles dégradations de la lumière, ici éclairé par la lumière dujour e
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