. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. --31. Vitvoorden , lif. Vilvoorden. - - 416 - - m. Comtes, lif. Princes. ib. - - 24. Comte , lif Duc.*- -433-- 6. lever, ///^arborer. T 0 ME IL Pag. 40 lig. 8. 9. aucune troupe étrangère , lif aucu-nes troupes étrangères. - - 48 — 1. conful, lif confeil. - - 5-2 - - 10. Buurman , - - 78 - - 4. \anger, Vf fatisfairc. ~ - 84 - - 29. Waningen , lif Wageningen. - 93 — I!2- niare, lif marées. - - 93 — 9- Ie Seigneur &c. lif Jean de Woer- den , Seigneur de Vliet.*? - 107 - - 5. effacez ce mot : droit. - - 134 — 14. neuf, lif onze. - -
. Tableau de l'histoire générale des Provinces-Unies. --31. Vitvoorden , lif. Vilvoorden. - - 416 - - m. Comtes, lif. Princes. ib. - - 24. Comte , lif Duc.*- -433-- 6. lever, ///^arborer. T 0 ME IL Pag. 40 lig. 8. 9. aucune troupe étrangère , lif aucu-nes troupes étrangères. - - 48 — 1. conful, lif confeil. - - 5-2 - - 10. Buurman , - - 78 - - 4. \anger, Vf fatisfairc. ~ - 84 - - 29. Waningen , lif Wageningen. - 93 — I!2- niare, lif marées. - - 93 — 9- Ie Seigneur &c. lif Jean de Woer- den , Seigneur de Vliet.*? - 107 - - 5. effacez ce mot : droit. - - 134 — 14. neuf, lif onze. - - 138 - - 4. Romerswaart j lif Romersvraalc. FAUTES. Pag. 296 lig. 3. Jean Perkin, lif. Perkïn Warbeck. - 373 - - 17. effacez ces mots : iafomme - 391 - - 23. choifiront, lif. choifira. - - 433 - - 3i- de grandes, lif. beaucoup de. - - 435 - - ii- ne pouvaient encore, lif. lui em* péchaient. - - 490 - - 16. effacez ce mot : enfin. - - 505 - - 30. Frifons, lif. fiiffons. • - 516 - - ai. dixième, Vif. centième. «tov •fc. TABLEAU D £ LHISTOIRE DES PR 0 VIN CE S - UNIES. C?: G**** «*3 GUILLAUME V. De la Malfon de Bavière, Comte de Hollande & de Zéelande, Seigneur de Frife. Ous avons vu, dans le volume précédent, combien le parti des Cabel- liaux était nombreux ; ainiï après la défaite & fuir tout après la mort de Tom. IL A Adhîini-ftration de GuillaumeV. 2 Guillaume Y. Marguerite, tout fléchit ou parût fléchir *355« f°us^a puifiance de Guillaume. Cha-que citoyen fut cabelliau, ou plutôtil ny eut plus de faction, dès quunefeule fut dominante. Il neft pas dou-teux , que, fi, par un accident aufliétrange que déplorable, Guillaumeneut pas perdu la raifon dans les ac-cès dun trille délire; sil eut pu tenirle timon de létat, feulement tout le temsde fa vie, il neft pas douteux, dis-je, que les cabales & les troubles neuf-fent été étouffés en Hollande, peut>êtrer même dans les autres lafcendant du nouveau Comtedon
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