. Le Monde moderne. es deux femmes : une prin-cesse el sa suivante. La fleurdu harem impérial était là,devant nous : réalité el vision !Sans doute, la revue futintéressante; mais combienil entre nous neurent dyeuxi[ue pour les cinq coupés, véri-tables boites à houris I Les grandes glaces (|ui fer-maient les loggias roulantesgênaient un peu la vue parleurs reflets. Cependant on les(lexinait fort belles, les favo-rites du triste .\ des glaces sabaissa etles femmes apparurent admi-rables, mais quelque peu im-[irécises à cause des vingt-cinqou trente nièlros (|ui nous sépa-raient d


. Le Monde moderne. es deux femmes : une prin-cesse el sa suivante. La fleurdu harem impérial était là,devant nous : réalité el vision !Sans doute, la revue futintéressante; mais combienil entre nous neurent dyeuxi[ue pour les cinq coupés, véri-tables boites à houris I Les grandes glaces (|ui fer-maient les loggias roulantesgênaient un peu la vue parleurs reflets. Cependant on les(lexinait fort belles, les favo-rites du triste .\ des glaces sabaissa etles femmes apparurent admi-rables, mais quelque peu im-[irécises à cause des vingt-cinqou trente nièlros (|ui nous sépa-raient delles. .Ma main rencontra à ce mo-ment, au tond de ma |)oclie,un instrument dont lusageétait rigoureusemeni interditen cet endroit. Mais la lorgnette était sipetite quelle pou\ail se dissimuler dansle creux de la main. >le cédai à la len-lali<m, el, entre deux voisins, mes com-plices, (|ui en lirenl autant après moi,je biaquai ma petite terri-blemeni: I. A ri: M MIC DANS I fl R T I) F. M La favorite du sultan était à un mètrede moi, à la toucher en tendant la main,à lui parler. Jeus sous les yeux unefemme admirablement belle, dune purebeauté antique, couverte de diamants etdétolTes mirifiques. On ne voit pas celatous les jours, nest-ce pas? et je douteque la lune, vue à un mètre, comme onla promet en 1900, donne aux yeux leplaisir quil y avait à regarder de si près la jolie créature encadrée dans le châssisdu coupé paradisiaque. La belle favorite fait-elle oublier ausultan le cauchemar de lArménie? Les(lies albo noianda lapillo que la belleGéorgienne peut offrir au Grand Turcpeuvent-ils etTacer de son âme le sou-venir des journées rouges de Constanti-nople? L ALLEMAND. JL J^ Elle était gaie, elle était aimait lespiègle enfant,Avec son œillet au corsageEt son petit air triomphant. Lorsquelle allait, vii/e et légè les sentiers fleuris de à neine si la fougèreSe courba


Size: 1431px × 1746px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1890, bookpublisherparis, bookyear1895