Gazette des beaux-arts . DAUBERVAL (iSMÈNE, 1773). (Recueil de Bocquet, au Cabinet des Estampes.) tion, sans craindre den faire profiter le dessinateur du Cabinet duroi, car désormais le contrôle du premier artiste des Menus-Plaisirsallait être purement platonique sur cette partie, et cela au vu et ausu de tout le monde. Dailleurs Challe ne trouva pas mauvais, aucontraire, cette atteinte à ses attributions, tellement les petitsmérites décoratifs des Bocquet lui parurent convenir à merveille auxbesoins du goût. Et, de fait, un peintre dhistoire de son acabit ne seserait jamais avisé de jolies s
Gazette des beaux-arts . DAUBERVAL (iSMÈNE, 1773). (Recueil de Bocquet, au Cabinet des Estampes.) tion, sans craindre den faire profiter le dessinateur du Cabinet duroi, car désormais le contrôle du premier artiste des Menus-Plaisirsallait être purement platonique sur cette partie, et cela au vu et ausu de tout le monde. Dailleurs Challe ne trouva pas mauvais, aucontraire, cette atteinte à ses attributions, tellement les petitsmérites décoratifs des Bocquet lui parurent convenir à merveille auxbesoins du goût. Et, de fait, un peintre dhistoire de son acabit ne seserait jamais avisé de jolies suites de dessins de costumes comme onen voit chez M. de Goncourt, aux Estampes et à lOpéra, sous lasignature des Bocquet. Il courait, depuis Daniel Rabel et les balletsde Henri IV, une mode dhabits de théâtre dun pittoresque fantastique 50G GAZETTE DES BEAUX-ARTS. où lanachronisme semblait le moindre défaut. Tout était permis, etle docte Dandré-Bardon se voilait la face, indigné de voir ses livres sur\
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